Cest mouillĂ© dans sa culotte. À force de se doigter sa main au chaud dans sa culotte, forcĂ©ment, c’est tout collant et moite. La coquine a en plus le vibro connectĂ© Ă  distance dans le vagin donc cela la fait bien mouiller la salope. Il faut dire que les voyeurs ne se privent pas de la faire vibrer et jouir en show public.
Cette douce brunette va se mettre nue, elle va garder sa petite culotte, se mettre la main dedans pour se titiller le clitoris. Description par cracheurdefoutre EnvoyĂ© par PrivĂ©{"data"{"url""https\/\/ Webcams XNXXCOM XNXX. Hot Keywords: XNXX NEW ! SMA Family SEX MAHASISWI BIG BREAST JANDA HENTAI ANIME Bokep Full HD XNXX JEPANG XNXX INDONESIA XNXX DOGGY BEST XNXX Japanese Mom BokepJepang.Net XNXX THAILAND more . Sex XNXX,Bokep Video,XNXX,WWW.XNXX.COM,XNXX.COM,Xvideos,XNXX Thailand,XXNX, Bokep Video, Jepang JUSTE EN FACE Je laissais le cafĂ© finir de se faire, pour en boire une tasse avant de repartir. Il Ă©tait treize heurs vingt. Je suis venu me caler Ă  la fenĂȘtre. Ca faisait deux mois que j'Ă©tais revenu chez moi dĂ©finitivement, aprĂšs des annĂ©es d'itinĂ©rance. J'avais enseignĂ© l'Ă©conomie en acceptant d'ĂȘtre remplaçant. Ca m'avait permis de tourner sur pas mal de dĂ©partements, de communautĂ©s de communes, de villes...Une expĂ©rience qui m'avait beaucoup plu. Mais tout a un temps. Je venais de prendre ma retraite. A 58 ans, j'avais suffisamment d'annuitĂ©s, j'avais eu aussi l'intelligence de faire des placements. Je savais que je pourrais finir mon existence tranquillement. J'Ă©tais rentrĂ© chez moi, une maison qui appartenait Ă  mes parents et que j'avais gardĂ©e, oĂč j'avais prĂ©vu de me retirer. Je n'Ă©tais pas oisif pour autant. Je m'Ă©tais engagĂ©, comme j'en avais envie depuis longtemps dans des associations caritatives. Le matin, je faisais la ramasse de la Banque Alimentaire, le soir, j'Ă©tais bĂ©nĂ©vole aux Restos du Coeur, je leur faisais la comptabilitĂ© et je gĂ©rais l'administratif. J'habitais dans un petit hameau bien tranquille, oĂč chacun restait chez lui. L'indiscrĂ©tion, ce n'Ă©tait pas trop notre truc, et c'Ă©tait tant mieux. Le spectacle que j'avais sous les yeux a capturĂ© mon attention et j'aurais Ă©tĂ© bien incapable de regarder ailleurs. Ma voisine, Danyelle, avec un Y, elle y tenait, Ă©tait installĂ©e sur le siĂšge conducteur de sa voiture. Elle avait les deux jambes posĂ©es sur le sol cimentĂ© de son garage. Son attention posĂ©e sur ses jambes, elle a fait glisser doucement, une jambe puis l'autre, les mains sur son collant, pour lisser et remonter celui-ci le long de ses jambes. Elle avait des jambes fines, mais trĂšs bien dessinĂ©es, et comme elle avait une jupe courte, et qui Ă©tait remontĂ©e quand elle s'Ă©tait assise, son absence de culotte Ă©tait Ă©vidente. MĂȘme d'oĂč je me trouvais, je pouvais voir nettement le dessin de son sexe, une fente dont dĂ©passait un bout de lĂšvre, et une absence de poils. Elle avait exactement le mĂȘme Ăąge que moi, mais, malgrĂ© le passage du temps, Danyelle Ă©tait toujours une femme dĂ©sirable. Et ma verge dressĂ©e dans mon caleçon ne disait pas le contraire. Danyelle. Je ne l'avais pas vue depuis des mois, et en tout cas pas depuis mon arrivĂ©e. Ca faisait trente-cinq ans qu'elle Ă©tait en face de chez moi. Avec son mari, ils avaient achetĂ© cette maison, inhabitĂ©e, et ils en avaient fait une belle demeure. On avait eu l'occasion de discuter, plusieurs fois, Ă  l'Ă©poque. Elle Ă©tait chaleureuse et souriante. Et surtout elle Ă©tait trĂšs dĂ©sirable. Une petite brune, avec des formes menues mais trĂšs marquĂ©es, quelque chose de trĂšs sensuel dans son allure, dans sa dĂ©marche, et une fĂ©minitĂ© affirmĂ©e. Elle m'avait aussitĂŽt plu, mais elle Ă©tait mariĂ©e, et ce n'Ă©tait pas mon style de courir aprĂšs une femme mariĂ©e. A l'Ă©poque, j'avais repris mes Ă©tudes pour un an, et j'Ă©tais souvent lĂ . Le Destin me tourmentait en me la mettant sous les yeux et en me confirmant bien que oui, elle Ă©tait dĂ©sirable. A l'Ă©tĂ©, quand elle Ă©tait chez elle, elle se baladait systĂ©matiquement en maillot de bain. Difficile de ne pas frĂ©mir en la voyant Ă©tendre le linge ou lire un magazine sur un transat. Elle avait une plastique impeccable, et ses maillots le disaient clairement. Quand le froid Ă©tait venu, elle avait optĂ© pour des tenues prĂšs du corps, robes, tailleurs, jeans, qui la soulignaient. Une taille fine, des jambes qui ne l'Ă©taient pas moins, des fesses trĂšs cambrĂ©es, une poitrine en dysharmonie avec le reste de son corps, et puis le choix de couper ses cheveux trĂšs courts. Ce qui m'avait pourtant le plus troublĂ©, au-delĂ , c'Ă©tait qu'Ă  l'Ă©poque, elle et son mari Ă©taient trĂšs amoureux l'un de l'autre, comme on peut l'ĂȘtre quand on vient de marier, qu'on se connaĂźt depuis peu, qu'on est jeune et que le dĂ©sir est trĂšs fort. J'avais Ă©tĂ© tĂ©moin de moments qui m'avaient tordu le ventre, impudiques, mais d'une impudeur qui n'Ă©tait absolument pas calculĂ©e. Ils Ă©taient chez eux, et ne pensaient pas forcĂ©ment que leur hangar ouvert, leur jardin, donnait sur la maison en face, tout comme une chambre Ă  la fenĂȘtre ouverte. PrĂšs de trente-cinq ans aprĂšs, ces scĂšnes Ă©taient encore en moi, jamais effacĂ©es, toujours ravivĂ©es...J'y pensais souvent quand je me masturbais. Et mĂȘme quand j'avais une copine, une compagne, il m'arrivait d'y penser aussi, comme si au final c'Ă©tait ce que j'avais pu vivre, connaĂźtre, de plus excitant. Il y avait eu sans doute, je ne savais pas si c'Ă©tait le premier chronologiquement, ce moment oĂč elle Ă©tendait le linge. Ils avaient mis un fil dans le hangar Ă  l'Ă©tage, et elle y pendait rĂ©guliĂšrement le linge pour qu'il sĂšche. A la base, c'Ă©tait dĂ©jĂ  troublant parce que la lingerie fĂ©minine m'Ă©moustillait toujours. Je trouvais troublant de voir du tissu qui Ă©tait en contact avec les parties intimes d'une femme, et le vide renvoyait forcĂ©ment au plein. Et j'aimais voir ces collections de culottes, de soutien-gorge, de dessins et de couleurs divers. Il y avait aussi la sensualitĂ© de voir une femme Ă©tendre son linge, et encore plus quand elle est en maillot de bain. Son mari est montĂ© la voir alors qu'elle Ă©tendait, en fin d'aprĂšs-midi. Je relisais des notes prĂšs de la fenĂȘtre. Ces notes, je les ai dĂ©laissĂ©es pour un moment. Il a fait sauter l'agrafe qui maintenait son soutien-gorge dans son dos, et il a attrapĂ© le tissu. C'Ă©tait une chose de voir ses seins enveloppĂ©s par le tissu, c'en Ă©tait une autre que d e les voir nus. Ils Ă©taient haut perchĂ©s, bien ronds, charnus, fermes...Avec une envie Ă©vidente, il est venu prendre ses tĂ©tons dans sa bouche...Elle faisait d'Ă©vidence partie de ces femmes sensibles par lĂ . Elle s'est cambrĂ©e en arriĂšre, fermant les yeux, et poussant un gĂ©missement que j'ai entendu par la fenĂȘtre entrouverte. Il y avait une ardeur chez son mari, une envie de lui bouffer les seins, sans aucun doute, mais aussi de lui donner du plaisir, et apparemment, il y rĂ©ussissait trĂšs bien. Je n'ai pas manquĂ© de remarquer que, pendant qu'il allait d'un sein Ă  l'autre, son Ă©pouse avait glissĂ© sa main dans le slip de son maillot de bain et qu'elle se masturbait, dans un geste dĂ©terminĂ©, faisant tourner sa main sur son intimitĂ©. Un mouvement circulaire qui avait d'autant plus d'impact qu'il n'Ă©tait pas visible, mais masquĂ© par le tissu. Elle a tendu son autre main vers lui, et j'ai bien compris qu'elle allait chercher sa queue dans son pantalon pour le masser en mĂȘme temps. Il allait d'un sein Ă  l'autre, et je voyais bien, mĂȘme d'ici que ses tĂ©tons s'Ă©taient durcis, plus Ă©pais, plus longs...Et qu'elle Ă©prouvait du plaisir. Elle a fini par jouir, se tendant, se cambrant. Lui par contre, n'en Ă©tait pas encore lĂ . Ils se sont lĂ©gĂšrement dĂ©placĂ©s. Je me suis demandĂ© si elle n'Ă©tait pas consciente de ma prĂ©sence, et qu'elle ne voulait pas me donner Ă  voir sa masturbation. En tout cas, comme ils se sont positionnĂ©s, de trois-quarts j'ai pu nettement voir la belle queue de son mari, aussi longue qu'Ă©paisse, et sa main qui allait et venait sur lui, une caresse qui tournait autour de lui, venait aussi sur son gland et sur ses couilles. Il s'est tendu et a joui, bouche ouverte, balançant des traits copieux de sperme dans les airs. Et ça n'a pas Ă©tĂ© la seule fois, loin de lĂ . J'en Ă©tais arrivĂ© Ă  me poser des questions, qui n'ont jamais vraiment eu de rĂ©ponse. J'Ă©tais plus ou moins convaincu qu'elle m'avait aperçu et qu'elle voulait me troubler en mettant en scĂšne des moments de sexe avec son mari. Me donner envie de quelque chose que je ne pourrais pas avoir...Mais je n'ai jamais eu aucune certitude Ă  ce sujet. Dans les jours, les semaines, les mois qui avaient suivi, je l'ai souvent vue le masturber. Il ne disait pas non. Elle venait le chercher quoi qu'il fasse, scier du bois, peindre, arroser les plantes, elle sortait sa queue de son pantalon, et elle le caressait. Ce n'Ă©taient jamais les mĂȘmes caresses, parce qu'elle ne prenait jamais sa queue au mĂȘme stade de l'Ă©rection, et elle ne faisait jamais pareil, parfois frĂŽler une partie de sa verge de l'ongle, du doigt, parfois un mouvement de va-et-vient classique...Ca finissait en tout cas toujours de la mĂȘme maniĂšre, des jaillissements de sperme, qui partaient en tous sens. Ce qui m'avait Ă©normĂ©ment plu, une fois, je m'Ă©tais joui dessus, ca avait Ă©tĂ© la seule fois, ca avait Ă©tĂ© de la voir venir se caler devant lui, en short, sortir sa queue, et la masser en frottant son cul contre lui. Elle Ă©tait repartie avec le short et le dĂ©bardeur couverts de sperme. Un dimanche matin, j'avais Ă©tĂ© tĂ©moin, tĂŽt , d'un accouplement, quelque chose de vraiment intime. Leur chambre Ă  coucher Ă©tait en face de la fenĂȘtre de ma chambre Ă  coucher, mais un peu dĂ©calĂ©e, et le matin ils ouvraient pour aĂ©rer. Est-ce que j'envisageais de mater quand j'Ă©tais venu boire mon cafĂ© devant la fenĂȘtre...Me dĂ©caler un peu par rapport Ă  la fenĂȘtre, elle-mĂȘme dĂ©jĂ  dĂ©calĂ©e, me permettait de jouer es voyeurs. Je n'avais sans doute pas Ă  ĂȘtre fier de ça, mais j'aimais la voir nue. Souvent, je la voyais quand elle passait une nuisette, l'enlevait, partait Ă  la douche, en revenait, s'habillait ou se dĂ©shabillait. Ces moments me plaisaient. Ce jour-lĂ , ça a Ă©tĂ© nettement plus hardcore. Elle Ă©tait toute nue, sans rien sur la peau. Voir quelqu'un parĂ© d'un vĂȘtement est excitant, mais la nuditĂ© est aussi plutĂŽt troublante. Ce corps souple, fĂ©minin, m'attirait Ă©normĂ©ment. Elle avait grimpĂ© sur le lit, et elle s'Ă©tait mise Ă  quatre pattes. Je la voyais de profil. Parlant Ă  quelqu'un que je ne distinguais pas, mais je pouvais aisĂ©ment deviner de qui il s'agissait, elle avait dit -Viens, j'ai vraiment envie de sexe ce matin. Lui avait un pantalon de pyjama et un T-shirt. Il Ă©tait venu derriĂšre elle. Il avait fait quelque chose qui m'avait vraiment troublĂ©, prenant ses fesses Ă  pleines mains, il Ă©tait venu parcourir son sexe de sa langue, la faisant gĂ©mir. -Viens sur mon amus aussi, tu sais que je suis hyper-sensible par lĂ . Le mouvement qu'il avait eu disait qu'il Ă©tait effectivement remontĂ© sur sa muqueuse anale. Avant de se pencher sur elle il avait sorti sa queue de son pantalon, et je l'avais vue se remplir de sang, prendre de la forme, pour une belle Ă©rection. Queue qu'il a ajustĂ© sur le sexe de son Ă©pouse, pour aller et venir en elle. A en juger par la rĂ©action de la jeune femme, sa maniĂšre se se tendre, de se cambrer, de gĂ©mir, ça devait ĂȘtre bon d'ĂȘtre fouillĂ©e par cette queue. Elle se pincait les seins. D'oĂč j'Ă©tais, je les voyais de profil, et je voyais la queue rentrer, sortir, puis re-rentrer dans sa vulve. Quand il a senti qu'il allait jouir, le gars a arrachĂ© sa queue, dilatĂ©e d'avoir Ă©tĂ© en elle, et il a fait deux ou trois aller et retours de sa main sur sa queue pour faire jaillir son sperme sur la croupe ronde et ferme, que sa femme lui offrait. Il y avait eu aussi cet autre moment, qui m'avait bien troublĂ©, quand un soir, ils Ă©taient dehors, en plein Ă©tĂ©, et alors qu'ils me semblaient vraiment visibles, en tout cas, moi, je la voyais, elle. Il lisait, installĂ© sur un fauteuil de jardin. Elle Ă©tait venue se poser au-dessus de lui, Ă©cartant son slip, venant le caler dans son aine, et elle avait guidĂ© sa queue vers les lĂšvres de son sexe. Visant bien, elle avait fait rentrer le gland en elle, avant de se laisser tomber sur lui, et d'avaler totalement la queue, disparue en elle. Ca m'avait terriblement troublĂ© de la voir bouger sur lui, faisant ressortir la queue puis l'avalant Ă  nouveau en elle. Elle se masturbait en mĂȘme temps, appuyant sur son gland clitoridien. Elle avait fini par sortir sa queue de lui, et l'avait collĂ©e contre son ventre. Deux secondes plus tard, il Ă©jaculait, crachant jet de sperme sur jet de sperme, montant haut au point d'atterrir sur son visage. Et puis j'avais pris la route. J'avais bien sĂ»r la chance d'avoir des vacances, mais je ne la voyais qu'Ă©pisodiquement. Et passĂ© cette premiĂšre pĂ©riode, je ne les avais plus vus faire l'amour. J'admirais pourtant toujours autant sa fĂ©minitĂ©, aussi soignĂ©e que troublante. Et le temps avait glissĂ©. Elle Ă©tait devenue autre. Et pourtant, Ă  en juger par ce que je voyais, elle n'avait rien perdu de sa capacitĂ© Ă  troubler un homme. Moi, en tout cas, elle me troublait. Ce qui m'intriguait, depuis que j'Ă©tais arrivĂ©, c'Ă©tait que je n'avais pas aperçu son mari. Aux derniĂšres vacances, je l'avais croisĂ©. Et lĂ ...En plus sa voiture n'Ă©tait pas lĂ . Je redoutais le pire. Un coup d'oeil sur les avis de dĂ©cĂšs locaux m'avait laissĂ© penser qu'il Ă©tait encore vivant... Le lendemain, sur le coup de midi, il s'est trouvĂ© qu'on est rentrĂ©s au mĂȘme moment. Je me suis garĂ©, et j'ai traversĂ© la rue pour aller la voir. Quand elle est descendue de voiture, j'ai eu une vision qui m'a troublĂ©. Elle avait des cuissardes de velours noir, qui enveloppaient ses jambes, Ă©galement parĂ©es de bas stay-up qui montaient quelques centimĂštres plus haut que les cuissardes, et je pouvais voir aussi un sous-vĂȘtement du mĂȘme rouge, tendu par son sexe. Etait-ce mon regard ou bien, mĂȘme en ayant changĂ©, gardait-elle le mĂȘme sex appeal ? Elle est descendue de voiture, et m'a fait un grand sourire. Elle avait une robe noire, toute simple qui soulignait nettement qu'elle avait encore un corps impeccable. Je me suis vu soulever la robe et venir sur elle de la bouche et des doigts. -Je sais que tu t'es installĂ© il y a peu, mais on n'a pas eu encore l'occasion de se parler. Tu vas bien? -Ecoute, je dĂ©marre une nouvelle vie. Et je suis content d'ĂȘtre un peu chez moi. Et toi? -Je fais de l'aide Ă  domicile actuellement. -Je ne veux pas ĂȘtre indiscret, mais... Elle a compris tout de suite. -Phillipe? Oh, rassure-toi, il va trĂšs bien. Je l'ai simplement foutu dehors. J'avais totalement confiance en lui. Tu sais ce qui s'est passĂ©? Il y a trois mois, je suis descendue Ă  la mairie un soir. Je voulais refaire ma carte d'identitĂ©...Tu te souviens que mon mari est maire adjoint? -Je n'ai pas oubliĂ©. -Je l'ai trouvĂ© avec la secrĂ©taire de mairie. -Vu son rĂŽle, ca ne me semble pas anormal. -Tu vois qui c'est la secrĂ©taire, StĂ©phanie? -Oui, je me souviens d'elle. -Elle a de trĂšs gros lolos. Plus gros que les miens en tout cas. Au moment oĂč je suis arrivĂ©e Ă  la mairie, elle avait enlevĂ© son pull, et son soutien-gorge, et elle Ă©tait seins nus. Et j'ai pu constater qu'effectivement, elle a deux gros seins, et qu'ils sont bien fermes encore. Elle les tenait par en dessous. -Et ton mari? -Il avait sa queue fichĂ©e entre ses seins, et il la faisait bouger dans un mouvement de va-et-vient. -Ah oui, carrĂ©ment, une cravate de notaire... Je me suis senti un peu gĂȘnĂ©, et en mĂȘme temps l'incident m'amusait. -Oui, une bonne cravate de notaire...Et je peux te dire qu'il y prenait du plaisir, et qu'elle ça la ravissait aussi. -Et alors? -Je suis arrivĂ©e au moment oĂč il allait jouir. Elle n'a pas pu s'empĂȘcher de sourire. J'ai compris pourquoi quand elle a continuĂ© de dĂ©velopper son propos. Tu vois la scĂšne? J'arrive devant l'immense salle. C'est elle la premiĂšre qui s'est rendue compte de ma prĂ©sence. Elle avait la bouche ouverte, attendant certainement qu'il jouisse. Elle a redressĂ© la tĂȘte, pour me regarder, avec un mĂ©lange de surprise et de panique. Et lĂ , ça a Ă©tĂ© la catastrophe. Frank a commencĂ© a jouir, et son sperme au lieu de finir dans sa bouche est parti sur son visage. Tu me diras que c'est pas si grave en soi, mais elle s'en est pris dans les yeux. Et le sperme, c'est acide...Elle s'est mise Ă  glapir, portant ses mains Ă  son visage. -C'est pas possible, ça brĂ»le... -Va te mettre de l'eau sur les yeux. Ce crĂ©tin s'est rendu compte Ă  ce moment-lĂ  que j'Ă©tais lĂ . Il est devenu blĂȘme. -Ecoute, ce n'est pas ce que tu crois... -Non effectivement, je dois me tromper. Je parrie que tu vas me dire que tu signais des papiers avec ta queue...Et lĂ , plaf, l'accident bĂȘte...Le stylo qui fuit...Je pense que ce soir, ce ne sera pas la peine que tu reviennes Ă  la maison. Ni demain. Il est quand mĂȘme revenu chercher des affaires. Il m'a laissĂ© la maison et il a pris une bonne partie de l'argent sur le compte commun. On p asse devant le juge la semaine prochaine...Bon, je ne vais pas t'ennuyer avec tout ça... -Ah je suis navrĂ© pour toi... -C'est moi la plus navrĂ©e...Surtout quand j'ai appris qu'il me faisait cocue depuis le mariage et mĂȘme avant. Il n'a jamais arrĂȘtĂ©. Et tout le monde le savait sauf moi. Et lĂ  elle s'est mise Ă  pleurer. Je ne saurai pas dire qui est venu vers qui. Si c'est elle qui est venue vers moi ou si c'est moi qui ai avancĂ© vers elle. Toujours est-il qu'elle a Ă©tĂ© contre moi, que j'ai senti son Ă©paisseur, sa chaleur contre moi, le poids de ses seins contre mon torse. J'ai passĂ© mes bras autour d'elle, en priant pour qu'elle ne sente pas la rĂ©action, sans doute naturelle, que ça me provoquait de la sentir contre moi. Je ne sais pas si ça lui a apportĂ© du rĂ©confort. J'ai pensĂ© que c'Ă©tait il y avait trente-cinq ans que j'aurais aimĂ© la tenir comme ça...Mais peut-ĂȘtre fallait-il que ce soit le bon moment. Est-ce que c'Ă©tait le bon moment, lĂ ? Je ne savais pas trop. Notre jeunesse s'Ă©tait dissoute.. Pourtant, elle restait remarquablement sĂ©duisante. Elle n'avait plus la fraĂźcheur de la jeunesse, c'Ă©tait une Ă©vidence, et moi non plus, mais la maturitĂ© d'une femme qui avait su non seulement prĂ©server sa sensualitĂ©, mais aussi sans doute la porter Ă  un autre niveau. J'avais du mal Ă  comprendre que son mari ait eu envie d'aller voir ailleurs. D'autant que la secrĂ©taire de mairie n'avait rien d'une vamp, avec son extraordinaire vulgaritĂ© et ses kilos en trop. Ca c'Ă©tait certain, elle avait deux seins Ă©normes, et pour quelqu'un qui fantasmait sur les poitrines... Ce qu'elle me disait me surprenait en tout cas. Qu'il ait Ă©tĂ© voir ailleurs alors mĂȘme qu'ils venaient de se marier... Danyelle Ă©tait hyper attirante, et surtout, pour autant que j'avais pu le voir, contrairement Ă  bien des femmes, elle ne se refusait pas Ă  lui et ne refusait pas de lui donner du sexe...Au contraire...C'Ă©tait l'Ă©pouse rĂȘvĂ©e pour un homme qui aime vraiment le sexe. Elle a fini par se dĂ©tacher de moi. -Merci pour ce moment de rĂ©confort. Pardon, mais je n'ai pas bien vĂ©cu la chose. Je lui ai donnĂ© tout ce qu'il voulait. Il avait ma bouche, mon cul et ma chatte quand il voulait. Je me suis toujours occupĂ©e de sa queue. -Les hommes se lassent vite... -Oui....Bon n'en parlons plus, c'est du passĂ©. Dis-moi, tu fais quelque chose ce soir ? -Ce soir? Non, rien de particulier. -Ca te dit de venir diner Ă  la maison ? Je cuisine plutĂŽt bien...A moins que tu ne sois invitĂ© ailleurs... -Non, et je suis seul en ce moment. -Tu viens quand tu veux. A partir de 19 heures. -Je serai lĂ . J'allais m'Ă©loigner, quand elle m'a dit -Attends, je voudrais te dire merci. Elle est revenue vers moi. J'Ă©tais plus grand qu'elle mais avec ses talons et un petit effort, elle a atteint sans mal ma bouche. Elle a pris mes lĂšvres, pour un baiser qu'elle a fait durer. En mĂȘme temps, elle est venue chercher ma queue dans mon pantalon, de deux mains habiles. J'ai juste senti que ma queue Ă©tait Ă  l'extĂ©rieur de mon pantalon. Son geste ne m'a pas surpris tant que ça. Ca me renvoyait dans ce passĂ© lointain et proche Ă  la fois. Je l'avais vu un nombre incalculable de fois masturber son mari...Que ca n'avait pas empĂȘchĂ© d'aller voir ailleurs... Comme tous les hommes, mĂȘme si beaucoup ne l'auraient pas forcĂ©ment avouĂ©, j'aimais me faire masturber. C'Ă©tait un plaisir trĂšs fort que de sentir une main de femme sur soi, qui vous menait au plaisir. Elle a continuĂ© de m'embrasser en mĂȘme temps qu'elle faisait aller et venir sa main, d'un rythme rĂ©gulier, sur ma queue. Elle frottait sa langue contre la mienne, et la conjonction des deux plaisirs m'a mis trĂšs vite au bord de l'orgasme. Quand elle a senti que j'allais jouir, elle a resserrĂ© sa main autour de ma queue, et elle a recueilli tout mon sperme, alors que, spasme aprĂšs spasme, je me vidais dans cette main chaude qui m'enserrait. De sa main libre, elle a rangĂ© ma queue dans mon pantalon, pendant qu'elle ouvrait l'autre, dans laquelle nageait une mare de sperme, Avec un sourire, elle est venue laper mon sperme jusqu'Ă  ce que sa main soit parfaitement propre. Je l'ai revue faisant le mĂȘme geste en d'autres temps, ou masturbant son mari devant sa bouche ouverte, laissant le sperme remplir sa bouche jusqu'Ă  la derniĂšre goutte. -Tu vois ce salaud, j'ai bouffĂ© son sperme, il en a rempli ma chatte et mon cul, et ca ne lui suffisait pas... J'ai eu envie de faire un trait d'humour, lui rĂ©pondre qu'il avait de grosses rĂ©serves, mais j'ai prĂ©fĂ©rĂ© me taire. J'ai eu la tĂȘte ailleurs tout l'aprĂšs-midi, pensant Ă  son baiser et Ă  sa caresse. Dommage qu'on ne se soit pas connu avant qu'elle ne rencontre son mari...J'aurais eu une vie diffĂ©rente, avec une femme chaleureuse, intelligente, et qui aimait le sexe. Si longtemps aprĂšs je retrouvais la jeune femme que j'avais pu mater, mais aussi cotoyer, mĂȘme si c' avait Ă©tĂ© briĂšvement...Mais Ă  ce moment-lĂ , ma vie aurait Ă©tĂ© totalement diffĂ©rente. Un mal? J'aurais fait autre chose. Ca donnait le vertige quand on pensait qu'Ă  partir d'un croisement, on pouvait partir sur mille routes diffĂ©rentes, avec mille parcours diffĂ©rents. Je ne savais pas trop ce que je devais attendre de la soirĂ©e. MĂȘme si ce n'Ă©tait qu'un dĂźnea, je savais qu'elle cuisinait trĂšs bien, ainsi qu'une longue discussion, ce serait dĂ©jĂ  bien...Elle Ă©tait trĂšs agrĂ©able...Je n'attendais rien de prĂ©cis d'ailleurs...Elle m'avait dĂ©jĂ  donnĂ© un moment de plaisir intense quand elle m'avait embrassĂ©, et qu'elle avait caressĂ© ma queue. J'avais appris au fil des annĂ©es que peu, c'Ă©tait dĂ©jĂ  beaucoup. J'ai achetĂ© un bouquet de fleurs en revenant, des roses rouges, de taille moyenne, serrĂ©es dans le bouquet, et, sur le coup de huit heures, je me suis prĂ©sentĂ© Ă  sa porte. Je n'ai pas Ă©tĂ© déçu, c'est le moins qu'on puisse dire. Elle s'Ă©tait prĂ©parĂ©e comme une femme peut se prĂ©parer pour une soirĂ©e. Elle s'Ă©tait maquillĂ©e, un maquillage qui soulignait la finesse de ses traits. Le temps avait su la prĂ©server. Les crĂšmes aussi. Elle avait une belle paire de cuissardes, noires, d'un cuir qui luisait, et elle avait mis des bas stay-up, qui se prolongeaient un peu plus haut hors des cuissardes, prenant sa chair et s'y accrochant avec une bande Ă©lastiquĂ©e noire. Sa robe...Je n'en avais jamais vue une pareille. J'avais l'idĂ©e, je me trompais peut-ĂȘtre, qu'on ne devait pas la trouver dans la boutique au coin de la rue, mais plutĂŽt sur certains sites spĂ©cialisĂ©s. Elle Ă©tait en tout cas impressionnante. Et on ne peut plus simple. Elle Ă©tait faite fans un plastique entiĂšrement transparent, plutĂŽt Ă©pais, et fermĂ©e par une fermeture Ă  glissiĂšre qui faisait toute la longueur de la robe. Dessous elle n'avait rien, mĂȘme pas un string. L'occasion de profiter de son anatomie comme ça n'avait pas Ă©tĂ© le cas depuis longtemps. Le plastique enserrait ses chairs sans trop les comprimer mais en les rĂ©haussant. Elle m'a laissĂ© la regarder. Elle n'avait pas vraiment changĂ© avec tout ce temps. Aussi dĂ©sirable que quand elle Ă©tendait le linge en maillot de bain. Ses seins, peut-ĂȘtre parce qu'ils Ă©taient tenus par le plastique Ă©taient fermes et bien ronds contre le plastique. Elle avait gardĂ© un triangle assorti Ă  ses cheveux sur son pubis, mais miniaturisĂ©. Je me suis demandĂ© si elle se teignait ou si elle avait encore les cheveux naturellement noirs. Elle a tournĂ© sur elle-mĂȘme, me prĂ©sentant aussi ses fesses, rondes et fermes. Difficile de ne pas la dĂ©sirer. -Ca te plaĂźt? Je l'ai achetĂ©e par correspondance il y a deux ans, mais je n'avais pas eu l'occasion de la mettre avant. J'intĂ©ressais de moins en moins mon mari ces derniers temps. Je pensais qu'il y avait forcĂ©ment une usure dans le couple. Je n'avais pas compris que sa queue fonctionnait toujours parfaitement, mais qu'il allait la mettre dans d'autres culs que le mien. -Je te trouve trĂšs amĂšre. -Ca passera avec le temps. Ca ne nous empĂȘche pas en tout cas de passer une soirĂ©e sympa. Alors si tu me parlais un peu de ce que tu as fait toutes ces annĂ©es? On s'est posĂ©s sur le divan, avec un verre de vin. C'Ă©tait bien cette robe, ca me permettait de la voir sous toutes ses coutures, ma vision changeant quand elle bougeait. Elle Ă©tait toujours aussi dĂ©sirable. -Le rĂŽti doit ĂȘtre cuit, je pense qu'on va passer Ă  table...Dis-moi, avant, ça te dit de profiter de moi un peu? De quelques centimĂštres. Par le haut ou par le bas? Lisant de l'incomprĂ©hension dans mon regard, elle m'a prĂ©cisĂ© -Il y deux tirettes, une qui descend et l'autre qui remonte. Difficile de choisir. J'ai finalement optĂ© pour le haut. Voir ces seins, ça me rappelait la fois oĂč son mari Ă©tait venu les prendre avec sa bouche. Je ne voulais pas marcher sur ses traces plutĂŽt laisser les miennes, mais ça m'avait excitĂ©, et j'avais rĂȘvĂ© d'en faire autant. J'ai glissĂ© de quelques centimĂštres vers elle, et je suis venu chercher sa bouche, qu'elle ne m'a pas refusĂ©. On a Ă©changĂ© plusieurs baisers longs, nos langues s'accrochant, se frottant, avant que je n'attrape le petit morceau de mĂ©tal, pour le descendre de quelques centimĂštres. Sa robe ne prenait pas ses Ă©paules, l'enveloppant Ă  partir du torse, et j'ai Ă©cartĂ© un peu le plastique pour avoir accĂšs Ă  ses seins. Était-ce en frottant contre le plastique, Ă  cause de l'excitation ou les deux que ses tĂ©tons Ă©taient devenus semi-durs ? Ce qui n'avait pas changĂ© avec le temps, non plus, c'Ă©tait le plaisir qu'une caresse buccale pouvait lui donner. J'ai commencĂ© trĂšs soft, en donnant de petits coups de langue a lĂąchĂ© de petits gĂ©missements en se cambrant. -Mmmm, c'est bon...Tu sais Ă  la fin, il ne me faisait plus rien de tout ça...Il le faisait Ă  d'autres femmes. Quand j'allais le chercher, il me demandait toujours de me caler en levrette, il venait en moi deux ou trois fois, il jouissait, et c'Ă©tait tout. Il ne se souciait pas de mon plaisir. Je ne sais pas d'ailleurs s'il s'en est jamais souciĂ©. J'avais notĂ©. Si on allait plus loin, la levrette Ă©tait totalement Ă  proscrire. Pour l'instant, j'avais enveloppĂ© son tĂ©ton gauche de ma bouche, et je le caressais doucement de la langue. Je l'ai senti, ou alors c'Ă©tait une fausse impression, gonfler dans ma cavitĂ© buccale, s'allonger et s'Ă©paissir. En tout cas, ça lui faisait de l'effet. Quand je suis passĂ© sur l'autre tĂ©ton, j'ai gardĂ© contact avec le premier en le caressant avec la pulpe de mes doigts. -J'ai toujours pensĂ© que tu pouvais faire un amant parfait. Dommage que ça arrive si tard. Allez viens, on va manger, je t'ai prĂ©parĂ© un bon repas. J'ai remontĂ© la fermeture-Ă©clair. J'aurais d'autres occasions de la descendre. Elle a dĂ©veloppĂ© son propos pendant qu'on mangeait. -Il paraĂźt que c'est une situation plus commune qu'on ne pourrait penser. Tu te maries, et puis tu croises quelqu'un qui te plaĂźt. C'est exactement ce qui s'est passĂ© quand je suis arrivĂ©e ici. Je t'ai vu, et je me suis demandĂ©e ce que je faisais avec mon mari. Vraiment le coup de foudre, et je ne suis pas sĂ»re que je l'avais expĂ©rimentĂ© avec lui. On se connaissait depuis longtemps, en fait, depuis l'Ă©cole, et c'Ă©tait un peu naturellement qu'on s'Ă©tait mis ensemble. Je ne suis pense pas au final qu'on s'aimait. -Je n'avais pas imaginĂ© que...D'autant qu'on ne se parlait pas spĂ©cialement... Et c'Ă©tait vrai. Si j'y repensais, j'avais passĂ© bien plus de temps Ă  la mater qu'Ă  Ă©changer avec elle, dans la rue, devant chez elle ou chez moi. Je comprenais mieux en tout cas pourquoi elle se baladait si souvent en maillot. L'envie de m'aguicher. J'en arrivais mĂȘme Ă  me demander si, quand elle s'exhibait avec son mari, ce n'Ă©tait pas aussi quelque chose de calculĂ©. Dont il n'aurait pas Ă©tĂ© conscient. C'Ă©tait en tout cas trĂšs paradoxal qu'elle lui reproche une infidĂ©litĂ© bien rĂ©elle, alors qu'elle avait Ă©tĂ© tentĂ©e de le trahir avec moi. Aurait-elle Ă©tĂ© jusqu'au bout, ou Ă©tait-ce juste un fantasme... -Je te trouvais magnifique...Mais j'avais le sentiment que rien n'Ă©tait possible Ă  l'Ă©poque. -Ce n'Ă©tait pas le moment. Ca l'est peut-ĂȘtre maintenant. On venait de finir le plat principal. Il restait le dessert. J'ai eu le sentiment que les desserts,j'allais en avoir plusieurs. Elle est venue se poser juste devant moi. -Et si tu attaquais par le bas. J'ai fait comme elle le souhaitait. Remontant la fermeture-Ă©clair pour accĂ©der Ă  son ventre plat. J'ai entamĂ© un mouvement circulaire dessus, qui a semblĂ© lui procurer du plaisir. Elle a fini par me dire -Descends sur ma fente...Tu vas voir que malgrĂ© la mĂ©nopause, une femme peut encore mouiller. Je me suis arrĂȘtĂ© Ă  la hauteur de ce triangle, rĂ©duit Ă  sa plus simple expression, goĂ»tant Ă  la sensation de la texture soyeuse de ses poils. Une pause avant d'aller plus loin, peut-ĂȘtre parce que j'apprĂ©hendais des sensations fortes. J'ai finalement glissĂ© sur sa partie la plus intime. Un monde Ă  dĂ©couvrir, fait de sensations qui m'ont assailli. Le renflement naturel de sa vulve, l'ouverture au centre, dont dĂ©passaient ses lĂšvres que j'ai senti gonfler contre mes doigts, et effectivement son liquide intime qui coulait d'elle et qui est devenu plus abondant quand elle a senti ma main contre elle. Je l'ai caressĂ©e doucement. Elle s'est mise Ă  se tordre, comme si tout avait tournĂ© autour de cette main, entamant un mouvement qui a stoppĂ© le mien, se caressant elle-mĂȘme, yeux mi-clos, dans des mouvements doux, lents et circulaires. -Il y a trente-cinq ans c'est ta main, ta langue et ta queue qu'il m'aurait fallu au lieu de celle de mon mari... -On ne peut pas refaire le passĂ©...Mais on peut quand mĂȘme profiter du temps qui nous reste. Elle a tendu sa main vers mon pantalon et elle est venue chercher ma queue, comme elle l'avait fait Ă  midi. -Je savais que tu me matais, mais moi aussi. Tu sais que de l'Ă©tage du hangar je voyais parfaitement chez toi. Je t'ai vu plusieurs fois te masturber. Ca me mettait dans tous mes Ă©tats. Tu pensais Ă  moi? -A ton avis? -Si je me souviens bien une fois allongĂ©, une fois debout. Ta main bougeait sur ta queue. Je la voyais prendre de la vigueur. J'Ă©tais trempĂ©e. Je t'ai vu jouir deux ou trois fois. C'est beau une queue ultra-dilatĂ©e qui crache sa sais que je me caressais aprĂšs en pensant Ă  ces scĂšnes. Tu vois, ça marchait dans les deux sens, dans un jeu de miroir qui n'en finissait pas. Elle m'a masturbĂ© doucement avant de me dire -J'ai envie d'un premier dessert avant l'omelette norvĂ©gienne...Elle peut attendre encore un peu. Elle a remontĂ© sa main vers la fermeture-Ă©clair du haut et elle l'a descendue pour libĂ©rer ses seins. Je me suis demandĂ© oĂč elle voulait en venir. EnfoncĂ© entre ses seins, et c'est pour cela que je ne l'avais pas vu, il y avait un prĂ©servatif emballĂ© d'aluminium. Elle a dĂ©chirĂ© l'emballage, a sorti le latex tout gluant et elle l'a fait coulisser sur ma queue. Quelques ajustements pour dĂ©gager le rĂ©servoir. Elle a remontĂ© la fermeture-Ă©clair un peu plus, avant de venir se placer au-dessus de moi. Elle a attrapĂ© ma queue pour ne plus la lĂącher. Je pensais qu'elle allait simplement la faire rentrer en elle, mais ça a Ă©tĂ© tout sauf ça. Elle voulait sans doute me montrer un savoir-faire dont je n'avais doutĂ©, clair 37 ans plus tĂŽt. Elle a amenĂ© mon gland encapotĂ© sur les lĂšvres de son sexe, luisant du liquide qui coulait d'elle, et elle s'est mise Ă  me promener sur le relief de ses chairs intimes. Une caresse lente, qui prenait son temps et me permettait d'apprĂ©cier les sensations. C'Ă©tait exactement le genre de chose que je l'avais imaginĂ©e faire. Son jus, Ă©pais, sirupeux coulait sur le latex, dĂ©goulinait le long de ma queue pour venir se perdre sur ma chair. Un moment intense, avec une pointe de regret, on se connaissait, mais qu'on ne se soit pas rapprochĂ©s plus tĂŽt. Du temps perdu. Mais parfois, il faut attendre pour que les choses se rĂ©alisent. Mieux vaut tard que jamais, comme on dit. -J'ai envie de te prendre dans mon sexe. Tu crois que c'est possible? -A ton avis ? Ca s'est fait trĂšs simplement. Elle s'est laissĂ©e descendre sur moi, avalant mon sexe petit Ă  petit. Les sensations m'ont peu Ă  peu gagnĂ©. La chaleur de son sexe, son humiditĂ© autour de moi, mais surtout la merveilleuse sensation d'ĂȘtre enveloppĂ© par une gaine souple et extraordinairement caressante. -Si on veut rattraper tout le temps perdu, il va nous falloir beaucoup de moments de sexe. -Je suis tout Ă  fait prĂȘt Ă  partir dans ce sens. -Mets tes mains sur mon cul et fais-moi bouger sur ta queue. Ses fesses Ă©taient rondes et bien dures. Je les ai prises Ă  pleines mains, et je l'ai faite aller et venir sur ma queue. Elle s'est mise Ă  gĂ©mir. -Une bonne queue qui te caresse bien Ă  l'intĂ©rieur, il n'y a rien de meilleur. Il y a eu ce moment vraiment hors du temps, et d'autant plus hors du temps qu'il faisait se rejoindre passĂ© et prĂ©sent et futur. Il y avait le moment prĂ©sent, le plaisir intense, le passĂ©, celui que nous avions loupĂ©, mais curieusement, une Ă©trange mĂ©tamorphose faisait que, dans notre esprit, nous Ă©tions redevenus les jeunes adultes que nous avions Ă©tĂ© et qui se trouvaient, et un futur possible ensemble, celui que nous avions loupĂ© 35 ans plus tĂŽt. Pendant que je la fouillais, elle s'est mise Ă  se pincer le gland clitoridien, qui semblait plus Ă©pais et plus long Ă  chaque nouveau pincement. Au bout d'un cycle, je me suis mis Ă  jouir, mon sperme, bien que prisonnier dans l'enveloppe de latex, venant taper contre les parois internes de son sexe. Sentir le sperme jaillir l'a faite jouir. Elle est restĂ©e accrochĂ©e Ă  moi avant de se dĂ©gager. Elle a fait glisser la capote de long de ma queue. -Je vais chercher l'omelette norvĂ©gienne. Elle a remontĂ© les deux fermetures et elle est partie, un rien titubante, comme si elle Ă©tait ivre, en direction de la cuisine. Elle est revenue avec la fameuse omelette et le prĂ©servatif toujours accrochĂ© aux doigts. Elle a coupĂ© deux bonnes tranches d'omelette. Sur la sienne, elle a fait couler jusqu'Ă  la derniĂšre goutte la semence que contenait la capote. -Ca aura meilleur goĂ»t comme ça. Pendant qu'on mangeait, elle a dit -Je te propose de m'accompagner au lit. Tu peux rester jusqu'Ă  matin si tu veux. Tu dois te lever Ă  quelle heure? -Il faut que je sois prĂȘt pour huit heures. -Moi aussi. Bon, c'est parfait, on prendra le petit dĂ©jeuner ensemble. J'aimerais bien que ce ne soit pas une nuit unique. -Je ne le souhaite pas non plus. -Alors tout peut commencer. Pendant que finissais, elle est venue se pencher sur ma queue, que j'avais laissĂ©e Ă  l'air et qui n'avait pas dĂ©gonflĂ© d'un millimĂštre. Elle a fait tourner sa langue dessus. -Je suis une amante imaginative et sans tabous. -C'est toujours ce que j'ai imaginĂ©. On est partis ensemble vers sa chambre, conscient l'un comme l'autre que quelque chose de nouveau commençait pour nous qui serait peut-ĂȘtre meilleur que tout ce qu'on avait pu vivre de par le passĂ©. Relatedsearches pinsan buso natutulog habang tulog binosohan princess poppy gordita casero culotte teen home alone masturbation panty massage bbw gagging handjob public show your tits cinema cult japanese train uncensored bus legging gozada attouchement sexuel tripoter knock knock hand in panties masturbation prostate cum il lui met la main dans le pantalon pussy 14 aoĂ»t 2022 GĂ©raldine comme comme toutes les femmes du quartier sont sous le charme de Gaultier, le mari de Cassie. Ce dernier baisera GĂ©raldine Ă  l’absence de sa femme
 Bonjour moi c’est GĂ©raldine, voici mon histoire Ă©rotique. MariĂ©e, maman comblĂ©e de deux enfants, j’ai dĂ©mĂ©nagĂ© dans un quartier superbe de la Cote d’Azur il y a quelques mois, Ă  la suite d’une promotion professionnelle offerte Ă  mon mari. J’aime beaucoup notre nouvelle vie remplie de soleil, de bons cocktails et de rendez-vous chez les voisins, beaucoup plus accueillants et chaleureux que dans notre prĂ©cĂ©dente vie, Ă  Paris. Des voisins de qualitĂ© Je me suis d’ailleurs vite retrouvĂ© une meilleure amie, Cassie, chez qui j’ai pris l’habitude d’aller boire le thĂ© le samedi aprĂšs-midi. Ce samedi-lĂ , pourtant, rien ne s’est passĂ© comme prĂ©vu ! Je suis tombĂ© sur Gaultier, son mari, qui se musclait le torse avec des poids prĂšs de la piscine. Ce beau brun faisait tourner toutes les tĂȘtes des voisines, on l’appelait entre nous, et dans le dos de Cassie Mister Sexy ». Et il mĂ©ritait sont titre ! Je me suis approchĂ© de lui sur la pointe des pieds, en admirant la puissance de ses bras. Tu n’aurais pas vu Cassie, Gaultier ? Elle n’est pas dans la cuisine. » ai-je alors demandĂ©, d’une petite voix naĂŻve. Le pauvre s’est mis Ă  sursauter en balbutiant que Cassie Ă©tait sortie pour aller rejoindre sa mĂšre, un problĂšme familial de derniĂšre minute. Elle avait certainement oubliĂ© de me prĂ©venir, elle peut ĂȘtre parfois trĂšs tĂȘte en l’air. Il m’a regardĂ© avec un regard attendrissant, manifestement trĂšs peinĂ© que je me sois dĂ©placĂ©e pour rien. Tu veux m’accompagner dans ma sĂ©ance de sport ? » a-t-il alors avancĂ©, avec, je l’aurai pariĂ©, un petit sourire coquin. Je me suis alors approchĂ©e de lui, sensuellement, et j’ai passĂ© une main sur ses pectoraux que je sentais durs et bien bandĂ©s. Cassie m’aurait tuĂ©e si elle avait su que j’étais en train de flirter outrageusement avec son homme. Mais comme Gaultier avait un air de panique qui lui a traversĂ© le regard, j’ai su qu’il ne dirait rien. Cassie avait un tempĂ©rament de feu, nous savions l’un comme l’autre qu’on ne pouvait pas aborder tous les sujets de conversation avec elle. AprĂšs un moment d’hĂ©sitation dĂ» Ă  la folie dans laquelle je souhaitais l’embarquer, Gaultier a finalement rĂ©pondu Ă  mes avances, en prenant ma main dans la sienne et en accompagnant mes gestes. Ainsi, il faisait se promener ma main sur ses tĂ©tons, ses abdos, ses avant-bras. Il avait une sensualitĂ© Ă©tonnante, que je ne lui aurai jamais soupçonnĂ©e derriĂšre ses airs de bourrin. Une tendresse qui lui avait certainement servi Ă  sĂ©duire la belle Cassie. Pour lui montrer que j’avais moi aussi des arguments convaincants, j’ai osĂ© tirer sur mon haut de dĂ©colletĂ© pour lui prĂ©senter la courbure de mes deux jolis seins. L’animal a fourrĂ© directement son nez dedans dans une inspiration sonore et trĂšs ostentatoire Hhhmmm
 ça sent la femelle en rut, tout ça ! » Il n’avait pas tort, j’avais trĂšs envie de passer aux choses sĂ©rieuses. Surtout que je ne savais pas Ă  quel moment Cassie allait revenir de chez sa mĂšre et j’imaginais bien que sa vengeance serait terrible si elle me dĂ©couvrait dans les bras de son mari. Sentant mon impatience, Gaultier m’a invitĂ©e Ă  rentrer Ă  l’intĂ©rieur, Ă  l’abri des regards curieux des voisins qui auraient certainement pu nous trahir au prochain barbecue. Je me frottais Ă  lui doucement, sa peau si douce, si ferme, Ă©tait Ă©lectrique. Et bien plus attirante que celle de mon mari ! Il m’a fait m’asseoir sur l’accoudoir du canapĂ© et, avec ses dents, a retirĂ© lentement ma petite culotte sous ma jupe. Je sentais le coton me caresser les cuisses, puis les mollets. Puis il a envoyĂ© valdinguer le sous-vĂȘtement Ă  quelques mĂštres de nous. Un cunnilingus sensuel Tu es Ă  moi, maintenant ! » s’est-il Ă©criĂ©, trĂšs fier. Il a relevĂ© ma jupe prĂšs de mes hanches et s’est lancĂ© dans un cunnilingus trĂšs sensuel. D’abord sa petite langue ; elle se faisait trĂšs timide, elle caressait doucement mes lĂšvres, agaçait mon clitoris bien dur, choyait mon trou du vagin. Puis, il s’est mis Ă  laper frĂ©nĂ©tiquement, dans de grands coups de langue, et j’ai commencĂ© Ă  gĂ©mir de plaisir sans aucune retenue. Oh oui ! Gaultier ! C’est si bon de sentir tes lĂšvres ! Qu’est-ce que tu me bouffes bien ! Oui, continue, s’il-te-plaĂźt ! » Ah si tous les hommes pouvaient ĂȘtre aussi attentionnĂ©s que Gaultier, il y aurait beaucoup moins de femmes frustrĂ©es dans le monde. AprĂšs m’avoir fait fleurter avec l’orgasme, il s’est relevĂ© brusquement. C’est mon tour ! » a alors annoncĂ© Gaultier en faisant tomber son pantalon sur ses chevilles. Le coquin ne portait pas de caleçon, et j’ai dĂ©couvert un sexe de taille hors norme. Aussi impressionnant que sa musculature ! J’ai dĂ©cidĂ© de ne pas faire la fine bouche et je l’ai avalĂ© tout de go jusqu’à l’entrĂ©e de ma gorge. Ce n’est pas mon mari qui m’aurait Ă  ce point-lĂ  dĂ©formĂ© les babines. Avec Gaultier, toute ma mĂąchoire Ă©tait en travail et je sentais mes joues s’étirer selon les aller et venue de son gland bien Ă©pais. Je ne pouvais pas retenir une partie de ma bave qui Ă©tait maintenant en train de lubrifier son sol. Elle serait contente Cassie de nettoyer tout ça ! » ai-je pensĂ© en me rappelant son cĂŽtĂ© maniaque. J’ai levĂ© les yeux vers le visage de Gaultier, tĂȘte en arriĂšre, des mĂšches de cheveux recouvraient ses yeux. Il mettait sa main sur mon Ă©paule pour tĂ©moigner son plaisir et sa reconnaissance. Ça m’a rendue fiĂšre ! C’était le bon moment pour finir de le foutre Ă  poil sur le canapĂ© tout en continuant Ă  le sucer. Maintenant Ă  quatre pattes au-dessus de lui, ma chatte Ă©tait en libre accĂšs pour que ses doigts puissent me fouiller. C’était dĂ©licieux de me sentir Ă  la fois en pleine puissance en lui aspirant le zgeg et en mĂȘme temps de succomber Ă  l’expertise de sa main. Doigts ou bite ? Est-ce que je peux remplacer mes doigts par mon sexe ? » Gaultier me suppliait maintenant de me baiser, il devait vraiment ĂȘtre Ă  cran. Il m’a alors prise en cuillĂšre, une position idĂ©ale pour laisser Ă  mes doigts le loisir de me toucher le clito’. Sa bite, toujours aussi dure, bandante au possible, Ă©cartelait maintenant mes chairs qui n’avaient jamais connu un membre aussi gros. Quel plaisir de se sentir Ă  ce point-lĂ  emplie. Ma Cassie devait vraiment bien prendre son pied, avec son mari, je comprends pourquoi elle faisait tout pour l’éloigner de la concurrence ! Je me suis ensuite assise sur lui, Ă  califourchon. J’avais l’impression d’ĂȘtre une reine sur son trĂŽne, je contrĂŽlais les mouvements, les emboitements, les virages. Gaultier en a profitĂ© pour m’insĂ©rer un doigt dans le cul ! Un petit bonus dans les sensations ! Ça m’a trĂšs vite fait dĂ©coller, j’étais Ă  la fois Ă©cartelĂ©e par sa grosse bite et je sentais son petit doigt me titiller l’anus de la façon la plus dĂ©licieuse qui soit. J’étais littĂ©ralement au bord de l’orgasme. Je l’aidais Ă  m’explorer les trĂ©fonds du cul en tirant comme je pouvais sur mes fesses, pour le laisser entrer en moi. C’était trop bon ! Gaultier gĂ©missait trĂšs fort sous mon corps, j’ai senti qu’il Ă©tait lui aussi en train de dĂ©coller, en train de perdre pied. Puis, il m’a allongĂ©e sur le canapĂ© en me disant Je n’en peux plus DĂ©borah, je vais te gicler dessus ». J’ai relevĂ© bien haut les jambes et je l’ai laissĂ© faire ses derniers allers-retours en moi. Il me pilonnait comme un forcenĂ©, tĂȘte baissĂ©e, concentrĂ© sur ses Ă -coups. Moi j’ai serrĂ© mes deux nichons l’un contre l’autre, je sais que les hommes aiment bien voir ces deux mamelles gonflĂ©es Ă  bloc, ça les excite. Alors, dans un grand Aaaah » il a sorti, in extremis, son sexe Ă©norme de ma chatte, avant de rĂ©pandre tout le liquide sur mes deux gros seins. Il avait une quantitĂ© de sperme impressionnante, ses deux couilles devaient ĂȘtre bien pleines ! Baisait-il encore rĂ©guliĂšrement avec Cassie ? Est-ce qu’il arrivait Ă  se vider Ă  sa guise auprĂšs de sa petite femme ? Je n’en savais rien
 mais quelque part, s’il trouvait un soulagement auprĂšs de sa voisine prĂ©fĂ©rĂ©e, de mon cĂŽtĂ©, j’étais ravie de lui servir de dĂ©versoir ! À lire aussi MasturbationDans La Culotte De Sa Meilleure Amie; Bonne Branlette Dans La Culotte; Ad; Elle Le Suce Et Se Fait Prendre Dans La Rue; Elle Se Branle Dans Le Taxi; Elle Branle Son Homme Avec Sa Bite Dans La Bouche; Il Defonce Le Cul De Sa Prof Cougar Dans La Maison Du Sexe; Elle Boit Le Sperme Dans La Chatte De Sa Copine; Il Lui Fourre Le Cul D
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