Car j’avais faim, et vous m’avez donnĂ© Ă  manger ; j’avais soif, et vous m’avez donnĂ© Ă  boire." Puis JĂ©sus s'identifie Ă  l'un des siens. “Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu ?
Le deal Ă  ne pas rater Coffret PokĂ©mon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en français oĂč le ... Voir le deal COMMENCEMENT. Corbeille Aller Ă  la page 1, 2 AuteurMessageInvitĂ©InvitĂ©Sujet le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 1423 Louhan allez monte. PurĂ© il fait frais, j’ai froid aux jambes moi. Monte ou sinon je te fait grimper moi-mĂȘme si tu n’es pas encore en Ă©tat
 » Louhan tourna la tĂȘte vers le conducteur, ou plutĂŽt la conductrice. Il avait la tĂȘte appuĂ©e sur l’appui-tĂȘte de son siĂšge, il fixa Charlotte, ou Stephanie il savait plus. Du moins il n’arrivait jamais Ă  savoir entre elle et sa sƓur. Il la regarda, ba quoi il allait pas foutre le chauffage en Ă©tĂ©. Elle avait qu’à pasmettre de mini jupe pour son service. Il soupira, cherchant avec sa main la poignĂ©e. Il ouvrit la portiĂšre et sortit difficilement certe. Je peux encore monter seul chez moi
merci de m’avoir dĂ©posĂ© » rĂ©pondit-il. Il la regarda partir et s’alluma un joing. AprĂšs tous il n’était plus Ă  ça prĂšs. Il Ă©tait cinq heures du matin. Son service ayant finit Ă  3 heure il avait eut deux heures pour se prendre 1,6 gramme de coke, deux bouteilles de vodka et une de rhum. Puis L’une des jumelles Stewton avait dĂ©cuidĂ© de rentrĂ© chopant par la mĂȘme occasion le jeune home. Pas trĂšs sympa de l’interrompre dans sa super soirĂ©e. Super soirĂ©e, quelle ironie. Il avait terminĂ© son travail se sentant abject. Hopeless hantant ses pensĂ©es. LĂ  c’était assez dur de penser Ă  la jeune fille. Allumant une clope il monta les escaliers un Ă  un. Assez lentement pour pouvoir encore tenir debout. L’appartement n’était pas fermĂ©. Heureusement car il n’aurait jamais rĂ©ussit Ă  rentrer dedans. Il alluma juste une lampe prĂšs du canapĂ©, pour ensuite aller Ă  la salle de bain. Il regarda son reflet dĂ©foncĂ©, ses traits tirĂ©s, ses joeus creusĂ©es. Oui il Ă©tait bien un junkie comme tous le monde le pensait. Il prit trois cahcets censĂ© faire passer le mal de tĂȘte. Lui il voulait juste faire passer l’alcool le mal de tĂȘte lui permettait de pas trop se concentrer sur un autre mal. Il but ce verre abject. Grimaçant il retourna Ă  son visage. Quelques secondes plus tard il du se prĂ©cipiter vers les toilettes pour rĂ©gurgiter quelques verres voir une bouteilles au moins d’alcool. Il s’essauya la bouche reprenant des mĂ©dicaments. Puis il repartit dans le salon. Zippo en main il alluma un joing. Il fixa cette porte close. Tristan. OĂč es-tu ? Je ne t’ai jamais demander de revenir car je sais que tu es avec elle. Que vous ĂȘtes ensemble
mais j’ai tant besoin de toi. Pourquoi tu peux pas ĂȘtre lĂ . Je peux rien faire
je sais pas comment faire Il tourna la clef dans la serrure, la porte s’ouvrant doucement. Le noir total. Il fit un pas, l’ambiance Ă©trange. Un cadre lui faisant face. Deux jeunes hommes, quasiment semblabes. Assis sur du bitume, riant , amusĂ© d’une blague commune sans doute. Le mĂȘme regard, les mĂȘmes tatouages. Louhan peu reconnaissable, des tatouages en moins, une vie en plus dans ses yeux. Le jeune homme s’approcha de ce souvenirs, cette piĂšce recouverte de photos, de souvenirs. Avec une guitare posĂ© sur une banquette abimĂ©e. Louhan s’approcha de cette banquette, jouant quelques accords. Il posa cette guitare, s’allongeant dans cette piĂšce qui encore une fois lui rappelait le passĂ©. Ses yeux se fermĂšrent peu Ă  peu, son visage crispĂ© par Tristan se mĂ©langeant avec Hopeless
 InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 1444 J'avais faim. Depuis combien de temps je n'avais pas mangĂ© ? J'avais l'immense flemme de me faire Ă  manger. Deux jours ? Oui, sans doute. Ça faisait deux jours que je n'avais pas mangĂ© correctement ce qui pouvait se voir. Mon corps tremblait doucement, alors que mes pas rĂ©sonnĂšrent. J'Ă©tais la seule, dans la nuit totale et j'avais peur. Peur du noir. Mais pas que du noir non plus. Peur de ce qui allait se passer avec Louhan, car j'Ă©tais bien dĂ©cidĂ©e Ă  aller le voir, de nouveau quitte Ă  ne rien lui dire. Seulement le regarder, vivre. Je voulais seulement le voir. Son regard bleu et son sourire provocant. Je voulais seulement voir ça. Lui. Louhan. Ce doux prĂ©nom qui faisait si mal, qui me rendait malade autant qu'il me tuait. Louhan. Mes pas accĂ©lĂšrent, je stressais comme une grosse malade dans la nuit. Dn plus, j'entendais des voix d'hommes. Or, je ne pouvais courir, car je n'en avais pas la force. Et Louhan qui habitait dans un quartier qui craint. Un jour, j'allais lui crever les yeux pour avoir habitĂ© ici. Son immeuble Ă©tait lĂ . Je montais les marches, doucement. FatiguĂ©e. Il Ă©tait tard. Ou plutĂŽt tĂŽt. Je ne savais pas Ă  quelle heure finissait Louhan alors j'Ă©tais venue chez lui, tard. Il Ă©tait cinq heures du matin surement. Je baillais, doucement. Il fallait que je le vois. Maintenant. Dernier Ă©tage, la porte de son appartement. Je toquai doucement. Pas de rĂ©ponse. Je toquai une nouvelle fois. Pas de rĂ©ponse. J'enclenchais la porte, dieu merci elle Ă©tait ouverte. Louhan, tu es lĂ ? » demandais-je d'une petite voix, timidement. Pas de rĂ©ponse non plus. Une porte Ă©tait ouverte, cette porte close qui m'intriguait. Allais-je me faire tuer et dĂ©couper en petit morceaux par la suite ? Tant pis. J'entrouvris la porte, dĂ©licatement. Il Ă©tait lĂ , allongĂ© sur le sol, les yeux fermĂ©s. Il Ă©tait beau, terriblement beau. Je souris, peu de temps, avant de grimacer. Il aurait dĂ» m'entendre, lĂ . Pourquoi ne bougeait-il pas ? EffrayĂ©e, je m'approchais de Louhan en vitesse, le secouant. Louhan, tu me fais quoi lĂ  ? » Ne le voyant pas ouvrir les yeux, je le secouais, encore. Il commençait sĂ©rieusement Ă  me faire peur. Je pris peur, sans savoir pourquoi. Il Ă©tait lĂ , ne rĂ©pondant pas. Je levai la tĂȘte, regardant autour de moi et vu une photo, de deux garçons. Je ne les voyais pas bien, tant pis. Je m'en foutais Ă  vrai dire. Parce que Louhan ne rĂ©pondait toujours pas et que mon cƓur se serrait de plus en plus. RĂ©pond moi, Louhan bordel ! RĂ©pond moi ! InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 1750 A travailler, Ă  se droguer et Ă  boire il allait un jour finir par crever. Il le savait mais arĂšs tous, tous le monde finissait un jour par mourir. Et Louhan Ă©tait persuadĂ© qu’en mourrant il rejoindrait Tristan. Pourquoi ne pas le rejoindre dirctement ? Ce serrait facile Ă  vrai dire, une voiture qui va trop vite, un saut dans le vide, une corde, trop de coke, trop d’alcool. Il avait le choix, trop de choix. Mais Ă  chaque fois qu’il y avait pensĂ©, Ă  chaque fois qu’il avait vouluit le faire. Il y avait ce souvenir. Cette derniĂšre nuits, ensemble, rien que tous les deux. Et Tristan lui faisant jurĂ© de vivre pour deux, cette promesse sceller par leur lĂšvres se collant l’un Ă  l’autre pour Ă©changer le mĂȘme air, un air plein de tabac. Alors il ne pouvait le faire, car aussi bizarre que cela pouvait paraĂźtre c’était Tristan qui depuis des annĂ©es le forçait Ă  pas aller jusqu’à l’overdose. MĂȘme mort il le forçait Ă  ne rien faire de trop absurde. Alors pourquoi ne l’avait-il pas forcer Ă  ne pas tomber amoureux de cette fille ?Louhan s’était endormit sur ce canapĂ©, la guitare de Tristan posĂ©e Ă  terre, dans cette univers qui pouvait sans doute le ramener au temps oĂč il n’y avait pas encore tous ces souvenirs. OĂč il y avait juste le prĂ©sent et l’interrogation de savoir se qu’ils ferraient le lendemain tous les deux. Il Ă©tait dĂ©foncĂ©, bien soule aussi. Il aurait vraiment du mal le lendemain matin. Ca prĂ©sageait un mal de tĂȘte fĂ©roce. Mais pour le moment il avait sombrĂ© dans les bras de MorphĂ©. Il n’entendit pas sa porte s’ouvrir. Ca pouvait ĂȘtre dangereux, n’importe qui pouvait pĂ©nĂ©trer son appartement mais il y avait peu de chose Ă  voler vu que cette piĂšce Ă©tait toujours fermĂ©e. Il ne la sentit pas approcher. Comment l’aurait-il pu ? Il se sentit alors secouer. Pourtant il n’arrivait pas Ă  rĂ©agir. Trop dans son sommeil. Qu’on le laisse tranquil. Il voulait juste dormir mince. Il ne bougeait pas. Pourtant il fut tellement secouĂ©, reconnaissant cette voix affolĂ©. Il sortit peu Ă  peu de son sommeil. PurĂ© impossible de dormir tranquil. Il repoussa un peu Hopeless essayant de retrouver ses souvenirs, se qui se passait. Il refit vite surface nĂ©anmoins. La voyant la face Ă  lui. Que faisait-elle ici ? Pourquoi Ă©tait-elle lĂ  ? Pourquoi venait –elle le voir comme si il avait une rĂ©el importance ? C’est alors qu’il repĂ©ra oĂč ils Ă©taient. Le lieu. La chambre. Que faisait-elle ici ? Louhan pourtant apaisĂ© resota sur ses jambe oĂč du moins d’abord en mode assis il se leva rapidement. DĂ©gages
qu’est-ce que tu fous ici ? Sort !!! » Sa voix furieuse brisant le silence. Il la prit par le bras, la forçant Ă  se tirer de cette piĂšce. Il la tira violament vers la sortit. Un remake de la scĂšne oĂč un jour il Ă©tait en manque mais peut-ĂȘtre en plus furieux. Il claqua la porte de la piĂšce derriĂšre lui. Cachant son visage dans ses mains. C’est alors qu’il rĂ©alisa se qu’il avait fait, il rĂ©ouvrit la porte sortant dans le salon. Sur une Hopeless qui n’avait pas bougĂ©. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 1845 Et s'il venait Ă  mourir. Nan mais c'est vrai quoi, il avait un mode de vie plutĂŽt Ă©trange. S'il venait Ă  mourir comment je ferai moi ? C'Ă©tait Ă©goĂŻste, je le savais, mais lĂ , Ă  ce moment mĂȘme, je ne voulais pas m'imaginer vivre sans lui, sans ce putain de regard bleu qui avait envahit mon esprit sans oser en repartir. Il Ă©tait lĂ , graver et je ne pouvais m'en passer. Non. Jamais. C'est pour ça que j'Ă©tais prĂ©sente, chez lui dans cette piĂšce Ă©trange Ă  le secouer de toutes mes forces alors que mon cƓur lui, ne battait plus. Il ouvrait les yeux lentement et je soupirais. Quel con ! Il emmargea peu Ă  peu sautant sur ses jambes se levant rapidement. DĂ©gages.. Qu'est-ce que tu fous ici ? Sors ! » Me prenant par le bras, il me faisait mal. Il m'avait jetĂ© comme une vulgaire chose Ă  la porte. Je ne compris pas. Il Ă©tait dans la piĂšce et moi aussi. Ce qui me laisserai le temps de trouver une excuse bidon pour ma prĂ©sence ici. Fouillant dans mon sac, je trouvai son dĂ©bardeur. Bingo, j'allais m'en sortir. Il ouvra la porte, doucement. Il Ă©tait vraiment horrible. Enfin, pas physiquement horrible mais, ses yeux Ă©taient tellement rouges, sans vie. Pire que quand nous nous Ă©tions vus au bar. Il avait du se droguer, aprĂšs. Encore. Je soupirais lentement. Pourquoi m'Ă©tait-il sa vie en danger, ainsi ? Et pourquoi la drogue ? Je sais pas, il y a de nombreuses autres choses dans le monde. Pourquoi ça ? Ne tenait-il vraiment pas Ă  vivre ? Un de ces jours il allait en crever, chose que je ne voulais pas. Absolument pas. Je m'approchais de lui, dangereusement, sortant son dĂ©bardeur de mon sac. Je voulais te rendre ça.. » dis-je d'une petite voix, lui tendant. Nous Ă©tions Ă  quelques centimĂštres, il ne bougeait pas. Je soupirai, le posant sur la petite table alors que je n'avais pas bougĂ©. Non. Toujours cette mĂȘme proximitĂ© entre nous deux. Enivrante, mais surtout vertigineuse. J'avais la tĂȘte qui tournait, les jambes qui tremblaient. Instinctivement, je m'accrochai Ă  Louhan - ce ne fut pas la meilleure idĂ©e de ma vie - trop faible pour attraper quelques choses d'autres. Mais qu'est-ce qui m'arrivait ? Pourquoi Ă©tais-je devenue si faible, si tremblante d'un seul coup ? Ma tĂȘte se posa lourdement sur l'Ă©paule de Louhan, j'essayais de la relever. Aucune rĂ©ponse de ma tĂȘte devenue trop lourde. J'aurais dĂ» Ă©dition par Hopeless J. Shinedown le Dim 27 Juin - 2235, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 2118 Je voulais te rendre ça.. » Louhan la regardait, la face Ă  lui. Elle avait quelque chose dans ses mains. Louhan regarda un instant le bout de tissu. Puis il remonta le regard vers Hopeless sans rien dire. Comprennant alors que c'Ă©tait un de ses dĂ©bardeurs, il n'en eut pourtant pas grand chose Ă  faire. Elle le posa sur la table basse, sans bouger d'un pas. Elle Ă©tait lĂ . Si prĂšs de lui. L'observant comme un animal de foire. Il ne comprennait pas. Il allait bien, qu'elle le laisse tranquil. Il allait bien, qu'elle s'en aille. Il allait bien, pourquoi revenait-elle pour troubler cette paix instorĂ©e par la drogue. Nan pourtant elle Ă©tait lĂ . AprĂšs tous se qui s'Ă©tait passĂ© comment pouvait-elle ĂȘtre lĂ ? Il la regardait essayant de savoir comment rĂ©agir. Mais son cerveau encombrĂ© par du coton semblait plus savoir. Etait-ce la drogue? OĂč alors simplement qu'il ne savait plus comment se comporter. Un sience s'installa entre eux. Pesant, Louhan ne disait rien. Dos Ă  la porte qu'il avait refermĂ©. Face Ă  elle, si proche de lui et pourtant si loin en mĂȘme temps. Que devait-il faire? Comment pouvait-il effacer ces images de sa tĂȘte? Comment pouvait-il faire confiance Ă  une fille qui disait l'aimer mais qui avait coucher et eut une relation de couple avec un autre? Merci... tu aurais pu le garder mais c'est...sympa » rĂ©pondit-il au bout d'un moment. Sa voix calme et posĂ©, une voix blanche de toute Ă©motions. son cerveau refusant de comuniquer autre chose. Quel heure Ă©tait-il? N'avait-ce Ă©tĂ© qu'un rĂȘve? Tout ce qu'il avait vut ces derniĂšres heures n'avait-il Ă©tĂ© qu'un cauchemard? Pourtant tous semblait si rĂ©el, si proche, si douloureux. C'Ă©tait cette douleurs qui lui broyait la poitrine qui lui montrait que c'Ă©tait rĂ©el. Et il se haissait que seulement une fille puisse le mettre dans cet Ă©tat?. Quoi c'Ă©tait pas la fin du monde? Ce n'Ă©tait qu'une fille. Non ce n'Ă©tait pas qu'une fille. C'Ă©tait cette fille , et elle remettait tout en cvause, elle faisait tous remonter. Il la regarda, que devait-il lui dire? Car il en avait aucune idĂ©e. NĂ©anmoins elle avait une sale tĂȘte, pas autant que lui certe. Mais elle avait l'air crevĂ© et affamĂ©. C'Ă©tait facile Ă  deviner car la jeune fille mangeait comme dix d'habitude et que lĂ  il vit rapidement . Il la regarda toute trace de colĂšre refoulĂ©. Tu veux manger quelque chose? » InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 2343 Le silence, c'Ă©tait ça le pire. Aucun bruit, seulement son souffle et le mien. Trop proche, beaucoup trop proche. L'idĂ©e de l'embrasser me vint Ă  l'esprit, mais je la rembarrai aussitĂŽt, c'Ă©tait une mauvaise initiative, car je ne savais pas comment il allait rĂ©agir si jamais je venais Ă  toucher ses lĂšvres. Ses lĂšvres qui m'appelaient sans le savoir. Ses lĂšvres que je regardais un bon moment, avant de plonger mon regard dans le sien, vide. D'habitude si provocant, si joueur. En trois petits mots, il avait perdu ce qu'il Ă©tait. Ce garçon si sĂ»r de lui. Trois petits mots qui avaient changĂ© ma vie. Trois petits mots qui avaient relancĂ© mon cƓur, pour mieux le briser. Pourtant, je n'avais pas de quoi avoir le cƓur brisĂ©, mais savoir Louhan souffrir Ă  cause de moi, ça me tuait. Je n'Ă©tais qu'une fille parmi tant d'autre. Pourquoi moi ? Pourquoi m'avait-il dit ça Ă  moi ? Pourquoi pas Ă  une autre, une fille plus simple, une fille qui lui ressemble, une fille qui aurait pu trouver les bons mots pour le faire revenir. Une fille qui aurait pu l'aimer sans le faire souffrir, car je l'aimais oui, mais au final il avait mal. Ça se voyait. Il n'avait jamais Ă©tĂ© aussi froid avec moi, jamais aussi distant. Je regrettai ces nuits simples mais douces dans ses bras, sans ces trois mots. Sans sentiments. Sans rien. Merci... Tu aurais pu le garder mais c'est.. Sympa. » il me rĂ©pondit, enfin. La voix dĂ©nuĂ© de sentiments. Si distant. Je soupirais. Sentir son odeur Ă  longueur de temps ? Autant directement sauter d'un pont, ce serait plus simple. Sa peau Ă©tait si lisse, si dure, si.. Rah non, je devais m'interdire de divaguer ainsi. Mon ventre gargouillant et sans le vouloir je m'accrochais lĂ©gĂšrement Ă  Louhan. Tu veux manger quelque chose ? » Je le regardai, serrant les lĂšvres et souris intĂ©rieurement. C'Ă©tait dĂ©jĂ  bien, il ne me haĂŻssait pas jusqu'Ă  me faire mourir de faim. Euh, oui je veux bien, s'il te plait.. » dis-je en rougissant, timidement. Pourquoi je rougissais ? Je ne savais pas. Mais je rougissais, souriant bĂȘtement, ne le regardant plus dans les yeux. Je me reculai et le suivis dans la cuisine, m'asseyant sur la premiĂšre chaise qui se trouvait dans la piĂšce, beaucoup trop faible et fatiguĂ© pour faire un pas de plus. J'avais seulement envie de manger lĂ . Manger Louhan ? Encore plus mais bon, ça, c'Ă©tait une autre histoire. Baillant, je croisais mes bras et posa ma tĂȘte dessus, regardant Louhan se dĂ©brouillait Ă  me prĂ©parer un truc de mangeable. Je souris. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1108 Euh, oui je veux bien, s'il te plait.. » Il hocha la tĂȘte sans un mot. Il la regarda, elle lui sourit doucement rougissant. Il la regarda sans rien dire. Ce truc qu'il aimait tant, sa rĂ©serve que faisait qu'elle rougissait tous le temps, ce sourire timide. Il aurait voulut lui ordonner d'arreter ça, ça faisait trop mal. Mais il n'en fit rien. Il tourna les talons allant vers la cuisine. Il tourna juste avant la clef dans la cerrure. Toujours autant fuireux qu'elel y ai n'ajouta rien. La cuisine, toujours avec ce bordel continuel. Louhan se nourissait peu, il avalait des fruits, des cĂ©rĂ©als, du lait et du cafĂ©. Pas de viande, ni rien d'autre. La drogue servait Ă  la combler l'estomac lorsqu'il avait trop faim. Il l'entendit s'assoir sur une chaise; il ne vĂ©rifia pas. Non moinbs il la voyait moins son coeur semblait imploser. Il ouvrit le frigo, biĂšre, vodka, fruit, biĂšre et encore biĂšre. Il trouva auissi un paquet de clope. Surprit il le posa sur le haut de son frigo avant de renfermĂ© la porte, ouvrant un placard il en sortit un paquet de cĂ©rĂ©al, il tendit aussi du pain. DĂ©barassant lĂ©gĂšrement la table des paquet de clopes, cendrier, livre et fait divers il lui posa ça devant elle. Puis lui donna un bol et des couverts. Il y avait rien dans son appartement; mais en mĂȘme temps il y avait peu souvent des invitĂ©s Ă  faire manger ici. Il y a pas grand chose d'autre.. si tu veux des fruits sert toi dans le frigo» L'einforma -t-il levant Ă  nouveau les yeux vers elle. Etrange sa prĂ©sence ici, lĂ  sans se toucher, sans ce petit truc, sans ĂȘtre se passa une main dans ses cheveux court, sortant un verre il le remplit d'eau y plongeant de nouveau un mĂ©dicament. Si il finissait pas droguĂ© il finirait addict aux mĂ©docs. Il le laissa se diluer dans l'eau, sortant une clope. Il partit chercher son zippo. Le voyant sur le meuble, il se rappela quelques jours plutĂŽt Hopeless jouer avec, l'allumant avec joie. Il dĂ©tourna les yeux allant chercher un autre briquet dans un meuble. PuĂ©ril peut-ĂȘtre mais rien que cela faisait mal. Il revint dans la cuisine, Hopeless devait ĂȘtre fatiguĂ©e vu sa tĂȘte. Quoi? Que devait-il faire? Pouvait-il jouer encore longtemps ce rĂŽle d'ĂȘtre serviable malgrĂ© tous ça. De ne pas lui crier dessusn de ne pas la dĂ©tester. Non il ne pourrait pas rester longtemps mais il savait qu'il ne pourrait pas non plus la dĂ©tester. C'Ă©tait impossible tous simplement. Il s'accouda Ă  l'Ă©vier, les yeux posĂ© sur la table. Silencieux, le bruit de son mĂ©doc efervescent rompant juste le silence. Pas de musique pour une fois. Il posa du tabac sur sa feuille et roula une cigarette. Silencieux avant de la porter Ă  ses lĂšvres l'allumant. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1200 Que pouvais-je faire pour le rendre de nouveau normal ? Pour pouvoir glisser ma main dans la sienne, pour pouvoir toucher ses lĂšvres, si parfaites ? Je ne savais pas quoi lui dire, encore moins quoi faire. Pourtant, il allait falloir que je trouve, car ce silence Ă©tait pesant et je voulais tout rĂ©gler. Je voulais ĂȘtre avec lui, le voir sourire. Le voir vivre et en dĂ©couvrir un peu plus sur sa vie, petit Ă  petit et non pas sur cet ĂȘtre distant et maladroit. Celui qui souffrait en silence, mais qui se trahissait par son regard. Je pourrais tout donner pour rester dans son regard, pour voir cette Ă©tincelle de provocation qui lui Ă©tait fidĂšle. Or Ă  cet instant, il n'y avait plus que de la peine, de la haine et de l'amertume. Je ne voulais pas qu'il me dĂ©teste, je ne voulais pas qu'il ai une fausse imagine de moi. Et pour ça, je devais parler. Mais pas maintenant, moi, il dĂ©posa un paquet de cĂ©rĂ©ales et du pain. Puis un bol et des couverts. Il y a pas grand-chose d'autre.. Si tu veux des fruits sert toi dans le frigo. » Il regarda en ma direction, je fuyais son regard trop bleu. Merci.. » soufflais-je doucement, lui souriant en coin. Une fois qu'il eu dĂ©tourner le regard, je le regardais Ă  mon tour. Il Ă©tait beau, encore plus quand il se passait la main dans les cheveux. Une fois de plus, mon cƓur rata un battement. Je versai des cĂ©rĂ©ales dans le bol, mĂąchant lentement. MĂȘme le fait de voir ce bol et ces cĂ©rĂ©ales me rendaient nausĂ©euses. Ils me rappelaient un matin, oĂč j'avais dormi chez lui et que nous avions dĂ©jeunĂ© ensemble, aussi banalement qu'un couple normal. Je me souviens que ce matin-lĂ , j'avais souri, pour rien. J'avais souri, car ce banal je voulais en faire mon quotidien, avec lui. Je le regardais bouger, Ă  l'instant mĂȘme, allant chercher un briquet surement. Le bruit de son mĂ©dicament qui se diluait dans l'eau me paru bruyant. Serait-ce parce que ce silence Ă©tait trop Ă©touffant ? Je n'osais mĂȘme pas mĂącher ayant peur que cela fasse trop de bruit. Avalant une nouvelle cuillĂšre, je baissais le regard. Il Ă©tait lĂ , adosser Ă  l'Ă©vier, le regard fixait vers la table. J'avalai difficilement, m'apprĂȘtant Ă  parler. Écoute Louhan je.. Je suis dĂ©solĂ©e. Demain, j'irai parler Ă  Nathaniel parce que, mĂȘme si tu risques de le nier, je sais que ça te fait mal au fond, ton regard te trahit. » Ton si beau regard bleu, pensais-je. Et que, mĂȘme si ça ne mĂšne Ă  rien, mĂȘme si ça ne ressemble Ă  rien, mĂȘme si ça se terminera mal, je.. Je veux essayer. Essayer d'ĂȘtre avec toi, mĂȘme si c'est dur, mĂȘme si c'est impossible. Je veux ĂȘtre avec toi. » Je terminai ma phrase, le regard sur le bol. Je n'avais pas envie d'affronter son regard et je craignais ses mots. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1440 Les seuls bruits qui brisaient le silence Ă©taient ceux de son mĂ©dicament et les cĂ©rĂ©als de Hopeless. Rien de plus. Louhan fumait en silence, fixant cette table sans rien dire. Qu'est-ce qui Ă©tait Ă  dire? Il prit un cendrier plus loin et y dĂ©posa la cendre sans ce soucier du reste. Une voiture passa Ă  vive allure dans la rue en bas. Il n'y pretta pas attention. Ils se faisaient face, pourtant incapable de se parler. Rien, il n'y avait rien Ă  dire. autant pour Hopeless que pour lui. Il sentait cette atmosphĂšre tendue. Écoute Louhan je.. Je suis dĂ©solĂ©e. Demain, j'irai parler Ă  Nathaniel parce que, mĂȘme si tu risques de le nier, je sais que ça te fait mal au fond, ton regard te trahit. ... Et que, mĂȘme si ça ne mĂšne Ă  rien, mĂȘme si ça ne ressemble Ă  rien, mĂȘme si ça se terminera mal, je.. Je veux essayer. Essayer d'ĂȘtre avec toi, mĂȘme si c'est dur, mĂȘme si c'est impossible. Je veux ĂȘtre avec toi. » Louhan releva la tĂȘte. Elle ne le regardait pas. Elle avait les yeux posĂ© sur son bol. Il ferma les yeux, la machoire serrĂ©e. Pourquoi retourner le couteau dans la plaie? Mais si il se rĂ©pĂ©tait qu'entre lui et Hopeless rien ne pourrait se passer, quel Ă©tait donc ce truc que lorsqu'elle termina sa phrase il ressentit? Il secoua lĂ©gĂšrement la tĂȘte, comme si il voulait s'Ă©clairicr les pensĂ©es. Non rien ne pourrait fonctionner, il la dĂ©truirait. Il prĂ©fĂ©rait se dĂ©truire lui plutĂŽt qu'elle car au finale ça serrait se dĂ©truire tous les deux. Il tendit la main vers son verre, le faisant tourner entre ses mains il le regarda. L'eau moitiĂ© blanche. Il le porta Ă  ses lĂšvres et but le liquide d'un coup. Grimaçant il reposa le verre dans l'Ă©vier. Restant adosser au rebords de l'Ă©vier. Tu devrais rester dormir ici cette nuit...ma voiture et restĂ© sur le parking du bar et c'est dangereux que tu rentres Ă  pieds Ă  cette heure lĂ ... donc tu peux dormir dans ma chambre. » dit-il. Sa voix neutre, brisant le silence. Calme, serein. Ca lui couptait d'agir comme si de rien Ă©tait mais s'Ă©tait ainsi. De plus il avait vraiment besoin de dormir pour voir se que cela ferrait les idĂ©es moins embrouillĂ©es. Il souhaitait juste que cela ne soit pas pire, que la douleur ne soit pas plus intense. Il avait parlĂ© sans faire par de se qu'avait dit Hopeless. Il se remit debout, Ă©crasant sa cigarette. Et tu verras demain ce que tu ferras... ou pas » continua-t-il. Ne voulant rien dire de plus. Il prit son paquet de clope, et une bouteille de biĂšre fraĂźche. Passant dans sa chambre il prit juste un oreillĂ© pour lui; laissant le reste Ă  Hop'. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1516 Il Ă©tait lĂ , adosser Ă  l'Ă©vier, Ă  ne pas bouger. Il me rendait nerveuse. Beaucoup trop nerveuse. Portant une nouvelle cuillĂšre Ă  ma bouche, mon ventre commençait lentement Ă  cesser de me bruler. C'Ă©tait bon de manger. Le bruit des cĂ©rĂ©ales croquant dans ma bouche retentissait dans la cuisine. Louhan bu son mĂ©dicament, grimaçant. Je souris doucement. Tu devrais rester dormir ici cette nuit.. Ma voiture est restĂ©e sur le parking du bar et c'est dangereux que tu rentres Ă  pied Ă  cette heure lĂ .. Donc tu peux dormir dans ma chambre. » il avait dit ça, d'une façon tellement neutre. Dormir dans sa chambre, sans lui. Je grimaçais, mangeant une derniĂšre bouchĂ©e de cĂ©rĂ©ales. De plus, il n'avait pas fait attention Ă  ce que j'avais dit.. L'avait-il au moins entendu ? Je soupirais. Et tu verras demain ce que tu feras... Ou pas. » Il passa Ă  cĂŽtĂ© de moi, ne disant rien de plus. Il m'agaçait, dans sa maniĂšre d'ĂȘtre. J'avais envie de le frapper tellement fort pour qu'il revienne, pour qu'il soit de nouveau normal ». J'Ă©tais fatiguĂ©e, c'Ă©tait vrai. Mais dormir dans sa chambre, sans lui, ça me faisait encore plus mal au ventre que lorsque j'avais faim. Je me levai, dĂ©posant mon bol dans l'Ă©vier. Je n'avais pas la force Ă  faire ma maniaque ce soir. Passant dans le couloir, le regardant. Je soupirai et entra dans sa chambre, ne fermant pas la porte. Je n'avais pas envie de sentir cette solitude encore plus s'accrocher Ă  moi la nuit. Je dĂ©boutonnai mon jean, le glissant le long de mes jambes et le laissa lĂ , par-terre. Sa chambre sentait Louhan et c'Ă©tait horrible. Je me mis sous les draps, mettant un bras sous l'oreiller, montant mes jambes pour les rapprocher de mon ventre. J'avais froid, je me sentais mal et son odeur me tuait. Dn plus, son oreiller sentait vraiment lui. Je fermai les yeux, doucement, une larme coula le long de ma joue. Je pleurais silencieusement. Je voulais ĂȘtre dans ses bras pour me rĂ©chauffer, je voulais le sentir inspirer, puis expirer. Je voulais qu'il me sert, tellement fort pour oublier. Oublier tout cela et cette piĂšce Ă©trange. Il me collait Ă  la peau, tout le temps. Dans ma tĂȘte, c'Ă©tait des flashs qui n'arrĂȘtaient pas de barrer le chemin Ă  mon sommeil. Je le voyais, dans ce lit, souriant. Je le voyais, dans ce lit, m'embrassant. Instinctivement, je passais mes doigts sur mes lĂšvres, souriant. Un sourire qui devait plutĂŽt ressembler Ă  une grimace. Essuyant mes larmes, je remontais les draps par-dessus mon visage. Au moins eux, me protĂ©geraient des cauchemars. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1529 Louhan la laissa dans sa chmbare. Il fut surprit de ne pas entendre la porte se fermer. allant vers son canapĂ© il vit qu'elle l'avait laissĂ© entre-ouverte. Il soupira, venant s'assoir sur le canapĂ©. Fixant cette tĂ©lĂ©, pencher en avant, ses coude posĂ© sur ses genoux. Il ne savait plus quoi faire. Il n'entendait aucun bruit provenant de la chambre. Dormait-elle? Il n'en savait rien. Il aurait aimĂ© aller la voir, la regarder, refaire les mĂȘmes gestes comme avant. La regarder dormir, caresser son visage, ses lĂšvres, jouer avec ses cheveux. La sentir se blottir dans ses bras. Louhan se mordit la lĂšvre. Ressentant cette mĂȘme sensation que plutĂŽt dans la soirĂ©e, dans la rĂ©serve du bar. Il porta son index Ă  sa joue caressan sa peau humide. Pourtant il ne les fit pas disparaitre, sa tĂȘte basculĂ© en avant, fixant ses genoux. Pourquoi ça faisait si mal? Il voulait la voir. L'avoir que pour lui. Mais quelque chose le retenait. Il resta un long moment comme ça, avant de s'allonger sur son canapĂ©, pied nue, en jeans et tee-shirt. Il du s'assoupir un bon moment, dans un demi sommeil. Continuant d'entendre les bruits de la rue, mais ne pouvant rĂ©agir. ans un Ă©tat comateux. Il du rester ainsi quelques heures. Peut-ĂȘtre rĂ©ouvrit les yeux, la nuit dsparaissait peu Ă  peu Ă  sa fenĂȘtre. Il regarda le plafond, se levant alors pĂ©niblement. Retournant dans cette chambre si fondamental pour lui, il regarda la guitare. La frolant avec ses doigts. Etait-ce tous ces secrets qui les avaient Ă©loignĂ©? Etait-ce que Louhan n'avait jamais voulut se confier qui l'avait poussĂ© dans les bras de son frĂšre? Il en savait rien et ça le tuait. De pas savoir se qu'il avait fait. Il regarda des papiers, des lettres sur le bureau en dĂ©sordre. La piĂšce pourtant la plus rangĂ©e de l'appartement. Il regarda la plus vieille. Serrant les dents. Il retourna dans le salon, ne s'arretant pas vraiment. PĂ©nĂ©trant dans sa chmabre. Elle dormait. Elle Ă©tait lĂ . Les draps froissĂ© sur elle, elle Ă©tait lĂ  si belle dans son sommeil. Il vint s'assoir sur le lit, se prenant la tĂȘte entre ses mains. Il la regardait sa respiration douce, calme par le sommeil. Il avança doucement sa main. Que lui avait-elle fait pour le rendre ainsi? Si dĂ©munit face Ă  elle. Il caressa sa joue doucement. Il se releva alors, laissa juste cette lettre prĂšs de son visage. Et tourna les arriva dans le salon, ouvrant la fenĂȘtre il l'enjambea allant sur le minuscule balcon. S'en Ă©tait pas un, mais la place avant la barriĂšre de fer forgĂ©e pouvait servit de balcol. Il s'assit dessus, passant ses jambes entre les barres de fer, ses pieds dans le vide. Regardant la ville dĂ©jĂ  rĂ©veillĂ© il alluma une cigarette. Pourquoi faisait-il cela? Pourquoi donner Ă  Hopeless toutes les piĂšcespour le dĂ©truire? Elle avait dĂ©jĂ  rĂ©ussit une fois. Avec peu de chose elle y Ă©tait parvenu. pourquoi recommencĂ© pour que se soit pire? Mais si il devait le regretter, regretter son geste, si il devait la regretter autant que se soit jusqu'au bout. Et sinon, sinon demain, aprĂšs-demain ce serrait des jours nouveau. Il Ă©tait peut-ĂȘtre temps depuis maintenant cinq annĂ©es. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1615 J'Ă©tais bien lĂ . Dans mes pensĂ©es il Ă©tait lĂ , Ă  cĂŽtĂ© de moi, m'embrassant. En vrai c'Ă©tait son odeur qui me rendait ainsi, qui me faisait sourire alors que je ne devrais pas. J'Ă©tais bien, entre la nuit et le jour, entre la mort et la survit. Entre deux ponts. Je dormais Ă  moitiĂ© sans vraiment le vouloir. Je sentais les bras de Louhan autour de moi, ses lĂšvres sur les miennes. Mon imagination me jouait des tours, mais elle eut les moyens de le faire pour de bons. Un champ. Un champ de tulipes rouges qui reflĂ©taient dans les yeux de Louhan. J'Ă©tais en plein rĂȘve, un doux rĂȘve. Il Ă©tait lĂ , devant moi ses lĂšvres dessinaient un sourire. Le sourire de l'autre fois, le sourire qu'il avait eu quand sa carapace s'Ă©tait brisĂ©e. Je me voyais, courir en riant de bons coeurs. J'Ă©chappais Ă  Louhan qui essayait de me retenir. Un, deux, trois. Il me sauta dessus, m'attrapant les bras. Je lui souris, il me sourit. Nos lĂšvres se touchĂšrent et des papillons vinrent autour de nous, nous portant. Nous Ă©tions seuls et avions l'air heureux. Oui, ce rĂȘve Ă©tait magique. Ce rĂȘve Ă©tait bien loin de notre triste rĂ©alitĂ©. Je sentais une pression sur ma peau et bougea lĂ©gĂšrement. Les pas de celui qui venait de me sortir de mon sommeil s'Ă©loignĂšrent. Je baillai en silence, Ă©tirant mon bras. Il tomba sur une feuille. J'ouvrai les yeux, un peu. Le jour ce levai. Quelle heure Ă©tait-il ? Aucune idĂ©e. Je pris le bout de papiers soigneusement et ouvrais les yeux, peu Ă  peu, pour la lire. Je me demandais pourquoi elle Ă©tait lĂ , d'ailleurs.. Une larme coula le long de ma joue, je dĂ©posais la lettre contre le lit, dĂ©licatement. Je compris alors. Tout s'Ă©claircissait. Sa façon d'ĂȘtre distant, son penchant pour la drogue et ses tatouages, qu'il n'avait jamais voulu m'expliquer. Je comprenais aussi l'importance de sa guitare, que j'avais vu hier ou aujourd'hui dans cette piĂšce, bizarre. Je comprenais tout, peu Ă  peu et avait mal pour lui. Était-ce vraiment son frĂšre ? Ou une grande marque d'affection ? Dans les deux cas, il avait perdu son meilleur ami et je ne pouvais imaginer sa souffrance. C'Ă©tait comme ne plus avoir Polly Ă  mes cĂŽtĂ©s, une chose que je ne voulais pas me levais brusquement, cherchant Louhan. Il n'Ă©tait plus sur le canapĂ©. Je regardais partout et enfin, je le trouvai. Il Ă©tait lĂ , sur les barres de fer de l'extĂ©rieur, les jambes dans le vide. Je m'approchais de lui, doucement. Je passai mes bras autour de sa taille, posant ma tĂȘte contre son dos, fermant les yeux. Merci.. » soufflais-je doucement. Ma voix du matin Ă©tait horrible. Je serrai un peu plus mon Ă©treinte, sentant son corps collait au mien. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1811 Louhan avait beau avoir passĂ© cinq ans Ă  fuir cette rĂ©alitĂ©. A ne plus y penser et Ă  la cacher aux autres, il avait finalement Ă©tĂ© rattrapĂ©. Il aurait pu ne rien lui dire, faire comme avant, lui pardonner. Mais pardonner, comment pouvait-il le faire? Lui qui donnait si peu sa confiance, lui qui savait qu'il ne pouvait que compter sur lui. Hopeless avait bien montrer qu'il avait raison de ne faire confiance Ă  personne. Mais faire confiance Ă  personne c'Ă©tait la perdre elle. Et quelque chose lui disait qu'il ne le supporterait pas. On lui avait voler Tristan, il n'avait pas eut son mot Ă  dire. C'Ă©tait injuste mais il n'avait rien pu y faire. Alors que Hop' , Hopeless on lui donnait la possibilitĂ© d'ĂȘtre avec elle. On lui donnait toute la cartes en main, alors comment pouvait-il aprĂšs dire et crier Ă  l'injustice? Non il devrait assumer ses choix, et il savait qu'il ne pourrait pas assumer celui de la perdre. Nan il ne pouvait pas lui pardonner, mais ils pouvaient tous recommencer. AprĂšs tous ils Ă©taient tous les deux en regarda sa cendre tomber dans la vide, et plus bas, beaucoup plus bas sur le sol. Il Ă©tait au dernier Ă©tage, si il avait sauter il se serrait tuĂ©. Ses yeux dans les vagues il dĂ©tourna son regards de ces pensĂ©es morbides. Regardant le ciel qui devenait plus clair Ă  l'horyzon. Il avait de la chance de sa salle de bain on voyait le couchĂ© de soleil de son salon le levĂ©. Il n'avait pas Ă  se plaindre. Mais il n'Ă©tait jamais en Ă©tat pour les contempler ni l'un ni l'autre. Il n'en voyait pas l'utilitĂ© Ă  vrai dire. Il regardait les toits, les oiseaux qui se rĂ©veillaient et dĂ©jĂ  en bas les gens qui passaient. Il la sentit alors, il ne l'entendit pas arriver mais la sentit derriĂšrelui. Il sentit ses mains autour de sa taille, frissonnant lĂ©gĂšrement il la sentit dans son dos. Merci... » Il ne dit rien, s'appuyant contre la poitrine de la brune. Il posa sa tĂȘte sur l'une de ses Ă©paules, ses yeux continuant de fixer l'immensitĂ© de l'horyzon. Il porta la cigarette Ă  ses lĂšvres expirant ensuite la fumer. LĂ , assis, sentant la jeune fille dans son dos. Et il savait que plus rien ne serrait facile, mais qu'au moins elle serrait lĂ . InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1841 Je n'osais pas bouger. J'Ă©tais bien, malgrĂ© avoir lĂ©gĂšrement froid. Contre lui, son odeur parcourant mes narines, souriant. Je pouvais enfin le toucher, de nouveau le prendre dans mes bras. Il me faisait penser Ă  un enfant auquel on venait de lui retirer son jouet prĂ©fĂ©rĂ©. Sauf que son jouet n'en Ă©tait pas un mais son meilleur ami et que ça l'avait encore plus endurcit que de perdre un simple jouet. Les morceaux du puzzle se reconstituĂšrent. Enfin. Enfin il s'Ă©tait ouvert Ă  moi. Enfin je comprenais pourquoi. Enfin. Cet homme que j'embrassais Ă  ce moment mĂȘme alors qu'il avait les jambes dans le vide avait beaucoup trop souffert. Au fil des mots, je m'en Ă©tais rendue compte. Je voulais partager sa douleur pour lui retirer, un peu. Pour lui retirer cette peine qui devait le dĂ©chirer. Je posa mes lĂšvres contre sa nuque, doucement, desserrant mes bras autour de sa taille. Je reculai, titubant et m'affalai contre le canapĂ©, baillant longuement. J'Ă©tais fatiguĂ©e, encore. Je posa ma tĂȘte contre l'oreiller que Louhan avait prit hier soir et le regarda, toujours. Je n'avais plus peur de le regarder, aussi bizarrement cela soit. Je n'avais plus peur d'oser l'affronter. C'Ă©tait horrible de se dire que maintenant que je connaissais sa faiblesse, je pouvais lui tenir tĂȘte. Je m'en voulais de penser ainsi, comme une salope, mais lui aussi connaissait l'une de mes faiblesses, mon frĂšre. Je fermai les yeux, doucement. Je ne dormais pas, j'avais juste besoin de fermer les yeux, la lumiĂšre m'aveuglait. Je repensais Ă  cette lettre. J'avais tellement de question Ă  lui poser. Mais pas maintenant. Pas maintenant qu'il venait de s'ouvrir Ă  moi. Je bailla, encore une fois, c'est court. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1956 Louhan sentit les lĂšvres de la jeune fille dans son cou. Il la laissa faire. Conscient qu'il lui faudrait du temps pour retrouver cette confiance et oubliĂ© peu Ă  peu ce qui s'Ă©tait passĂ©. Il la laiss afaire puis la sentit se dĂ©coller de son dos. Il resta un moment dans la mĂȘme position face Ă  la ville. Puis il tourna la tĂȘte vers l'intĂ©rieur de son appartement. Il vit qu'Hopeless avait Ă©lu domicile sur son canapĂ©, allongĂ©e. Elle avait prit son oreillĂ© et avait les yeux fermĂ© bien qu'elle ne semblait pas totalement endormie. Louhan Ă©crasa sa cigarette. Il se leva restant en Ă©quilibre sur le bords de sa fenĂȘtre. Pied nue entre le vide et son appartement. Cela aurait Ă©tĂ© si simple de sauter du cotĂ© de la ville. De s'envoler vers un autre endroit. Il avança son pied et sota. attĂ©risant sur le parquet sans bruit. Il regarda l'heure de la cuisine. neuf heure et demie. C'Ă©tait dĂ©jĂ  le lendemain. Demain Ă©tait aujourd'hui. Pourtant le jeune homme se sentait aussi crevĂ© que la veille. aussi vide d'Ă©nergie. Bien qu'il se doutait que le problĂšme n'Ă©tait pas que Hopeless mais surtout la nuit qu'il venait de passer. Il observa la jeune femme sur le canapĂ©. S'approchant il l'a prit dans ses bras un demi sourire aux lĂšvres. Avec souplesse il la issa prĂšs de lui et se dirigea vers sa chambre. Oui il Ă©tait neuf heure mais ce n'Ă©tait pas pour cela ques'Ă©tait l'heure de se lever. Loin de lĂ  posa la brune sur sopn lit, puis s'allongea Ă  cotĂ© d'elle. Ce lit jamais fait, cette chambre jamais rangĂ©, cet appartement qu'Hopeless dĂ©testait tant. elle n'avait cessĂ© de lui rĂ©pĂ©ter. Elle dĂ©testait venir ici dans ce quartier "mal famĂ©" comme elle disait. Lui il l'aimait son appartement, il aimait son quartier et ses habitudes. Louhan bailla lĂ©gĂšrement, se sentant totalement Ă©puisĂ©. Comme si il n'avait pas dormit depuis des jours et des jours. Il regarda la jeune femme, ne sachant plus comment agir avec elle. retrouver les anciens gestes... Il ota son tee-shirt te son jeans. Le soleil se levait alors que lui comptait bien ne pas l'imiter. Se rallongeant sur son lit il attira Hopeless Ă  lui. DĂ©posant un baiser dans sa nuque, sur sa nan j'aime et moi aussi c'est court / InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 2047 J'avais cours aujourd'hui, Ă  dix heures mĂȘme, mais je n'allais pas y aller, autant que je n'allais pas quitter Louhan maintenant. Dans quatre vingt ans peut-ĂȘtre, mais pas maintenant. Non. Je voulais ĂȘtre avec lui, lui apprendre Ă  vivre sans souffrir. Lui apprendre comment moi-mĂȘme je vivais. En souriant au bonheur de la vie, tout simplement. Je n'ai jamais dit que c'Ă©tait facile, au contraire, mais il faut savoir se satisfaire de peu pour construire son avenir. Un avenir avec des risques, des bas et surtout des hauts, parce qu'il fallait se rĂ©jouir d'ĂȘtre en vie alors que d'autres sont partis bien trop vite. Comme son meilleur le sentais s'approcher, son odeur le suivait, mais je n'avais pas la force d'ouvrir les yeux. Je sentais ses bras, autour de moi, me soulever. Je souris contre lui. Je m'accrochai Ă  lui, alors que nous traversions son appartement pour aller dans sa chambre, je suppose, puisqu'il me posa sur un meuble mou, j'ouvris les yeux, un peu. Il enlevait son tee-shirt, puis son jean. Je souriais, comme une enfant heureuse. Son corps Ă©tait bien foutu, n'empĂȘche. Louhan s'allongea Ă  cĂŽtĂ© de moi, m'attirant vers lui. Ses lĂšvres se posĂšrent dans ma nuque, me provocant un tas de frissons puis sur ma clavicule. Je soupirais lĂ©gĂšrement, sans m'en rendre compte et souris. Doucement, j'avançais mon visage vers le sien, hĂ©sitant. Devais-je l'embrasser ou non ? Allait-il me rejeter ou pas ? Je regardais ses yeux, puis ses lĂšvres. Puis ses yeux et encore ses lĂšvres. Nos souffles se mĂ©langeaient, doucement. Son souffle chaud et brutal avec le mien. Je me poussais lĂ©gĂšrement pour pouvoir enfin le toucher, glissant ma main contre son torse, remontant doucement vers sa nuque pour finir par caresser sa joue, tendrement. Ça faisait horriblement bien, de se sentir en vie, seulement parce que je venais de l'embrasser. Timidement, comme une enfant. Nos lĂšves, ensembles. Pour toujours, car je n'allais pas le laisser partir, pas maintenant qu'il s'Ă©tait ouvert, qu'il m'avait ouvert son cƓur. Pas maintenant qu'il Ă©tait nu, face Ă  moi, moi la fille trop pure, mon son parfait contraire qui l'aimait, beaucoup plus qu'elle ne l'aurait souhaitĂ©. C'Ă©tait fou comme je l'aimais. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 2151 Louhan avait mit sa tĂȘte sur pause, son coeur brulant sur off et tous le reste aussi. Pourquoi penser? Il ne savait pas lui mĂȘme se qu'il voulait , enfin si. Il voulait ĂȘtre avec elle. Mais il ne savait plus quoi penser. Alors pourquoi continuer Ă  essayer de le faire ? Il avait donc dĂ©cidĂ© de ne plus se poser de question. Et s'est ainsi qu'il conduisit Hopeless dans sa chambre. Elle Ă©tait Ă  deux doigts de sombrer dans le sommeil. Il la dĂ©posa sur le lit, rĂ©tirant alors son tee-shirt et son jeans. Seulement en boxer il s'approcha e la jeune fille l'attirant Ă  lui. Il dĂ©posa un baiser dans son cou, respirant son parfum avec envie. Il la sentit bouger léÚrement et lui sourire. Un sourire qui retournerait n'importe quel mec. Sauf que s'Ă©tait lui qui Ă©tait lĂ , dans ce lit. Lui qui pourtant n'avait plus confiance en eux. Mais en voyant ce sourire, si timide ,si incertain. Il comprennait qu'il avait beau ne plus y croire, Hopeless semblait vouloir le faire pour deux si il baissait un jour les bras. Il la vit se rapprocher de visage si proche, leur souffle s'entremĂ©lant. Louhan la regardait sans bouger, appuyer sur sa main. Il ne bougeait pas, il la regardait. Ses yeux faisant l'aller-retour entre ses yeux si marron et Ă©nivrant, et ses lĂšvres si attirante. Il la regarda s'approcher, sentant sa main venir caresser son Ă©paule, sa joue. Puis enfin, enfin leur lĂšvres se touchĂšrent doucement. Louhan la laissant alors l'embrasser. Alors que doucement, il commença Ă  reprendre surface. Passant alors doucement sa main dans les cheveux de la jeune fille il rĂ©pondit Ă  son baiser. Comprenant qu'il ne pouvait rien faire de plus pour la repousser. Non il ne pouvait le faire c'Ă©tait impossible. Pourquoi donc continuer Ă  jouer au c**? Il l'attira un peu plus Ă  lui, profitant de son parfum tandis qu'il savourait finalement ce baiser. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Mer 30 Juin - 2236 Son regard bleu, parfois rouge, parfois vide, parfois Ă©tincelant ou provoquant. De toutes les maniĂšres que son regard soit, son regard Ă©tait ma prioritĂ©, ma premiĂšre pensĂ©e. DĂ©pendante de lui, autant de ses lĂšvres que de sa peau collĂ©e Ă  la mienne. Autant que lui avec moi. Maintenant tout pouvait se faire, parce que je pouvais enfin imaginer me rĂ©veiller dans ses bras le matin et prendre le petit-dĂ©jeuner avec lui, comme un couple banal. Je pouvais enfin imaginer lui prendre la main, l'embrasser dans la rue, me serrer contre lui lorsque j'aurais froid et mĂȘme rester des heures avec lui s'il le fallait dans nos rues de San Fransisco. S'il baissait les bras, s'il dĂ©primait, je pourrais ĂȘtre avec lui et lui dire que tout ira bien, lui redonner espoir et goĂ»t Ă  la vie, car dĂ©sormais ce sera logique. Je pouvais maintenant imaginer ĂȘtre sa petite amie et lui, mon petit copain, car mĂȘme si nous sommes diffĂ©rents, mĂȘme si nous venons de deux mondes opposĂ©s, je l'aimais plus que je ne l'aurai souhaitĂ©, je l'aimais quitte Ă  ne plus jamais parler Ă  mon frĂšre. Nos lĂšvres Ă©taient scellĂ©es, dĂ©licatement, comme la premiĂšre fois qu'on s'Ă©tait embrassĂ©. Doux et destructeur. La premiĂšre fois, il avait brisĂ© mon Ăąme pure et dĂ©sormais, il brisait mon monde, mes pensĂ©es. J'Ă©tais sous son emprise, totalement envoĂ»tĂ©e. Il me colla un peu plus Ă  lui doucement, pendant que nos visages s'Ă©cartĂšrent, laissant nos souffles communiquaient Ă  nouveau. Un sourire vint se dessiner sur mes lĂšves et je caressai dĂ©licatement sa peau, du bout des doigts, parcourant sa bouche, sa mĂąchoire, descendant. Je caressai son bras, le droit, passant sur ses tatouages, ceux dis dans sa lettre. J'embrassai timidement le nom qui apparaissait sur son bras. Baillant, je revins me caler dans ses bras, dans ses bras qui rĂ©chauffaient mon corps de glace. L'embrassant une derniĂšre fois, je fermai les yeux ensuite alors que je sombrais rapidement dans un sommeil lourd et profond, me laissant fondre contre lui. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Mer 30 Juin - 2247 Louhan avait bel et bien comprit qu'aujourd'hui plus rien ne serrait facile. Que pendant un temps tous serrait si difficile, si beau et si chiant. Il le savait, il s'y Ă©tait engagĂ©. S'engager avec Hopeless s'Ă©tait tous recommencer, revenir Ă  zĂ©ro, arrĂ©ter le reste, tirer un trait sur le passĂ©. En Ă©tait-il capable? Le voulait-il vraiment? Il l'ignorait mais maintenant s'Ă©tait fait. La machine Ă©tait enclenchĂ©e et plus rien ne permettait de faire machine arriĂšre. A prĂ©sent plus rien ne serrait pareil. Seul le futur pourrait dire si oui ou non cela avait Ă©tĂ© une bonne continua d'embrasser Hopeless. Jusqu'Ă  ce qu'elle sĂ©pare leur lĂšvre. Qu'ils reprennent leur souffle, qu'il voit ce sourire sur ses lĂšvres Ă  elle. Il sentit sa main caresser son bras, il posa ses yeux bleu sur les doigts qui frolaient sa peau. voyant les lĂšvres approcher de son bras. Il ne se recula pas. Il garda quelque temps encore ces yeux posĂ© sur ce prĂ©nom. Tristan, oĂč es-tu? Il fut interromput dans ses pensĂ©es par un baiser d'Hopeless. Il y rĂ©pondit puis la sentti se blottir dans ses bras. Elle ferma les yeux. Louhan reposa sa tĂȘte sur l'oreillĂ©. La brune Ă  ses cotĂ©s ne tardant pas Ă  respirer calmement signe qu'elle dormait. Louhan reposa de nouveau son regard sur son bras. Trista. Le regardait-il? OĂč Ă©tait-il? que faisait-il? Etait-il fiĂšre de lui? Louhan leva les yeux vers le plafond. Au dela du toit un ciel sans fin, et peut-ĂȘtre quelque part dans l'infinit son meilleur ami, sa vie, celui qui lui avait tout apprit mĂȘme se qu'Ă©tait l'amour. Celui qui grĂące Ă  lui, aujourd'hui, Louhan Ă©tait avec Hopeless pour le meilleur ou pour le pire... InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Jeu 1 Juil - 1436 J'ouvrai les yeux, lentement. Depuis combien de temps dormais-je ? Assez pour avoir le cerveau brumeux. Assez pour me sentir molle de la tĂȘte aux pieds. Assez pour avoir chaud bien qu'en Ă©tant en simple tee-shirt. Je le sentais, contre moi. Sa respiration contre ma nuque. Je souris dĂ©licatement. C'Ă©tait agrĂ©able de me rĂ©veiller dans ses bras, chauds et protecteurs. Je me tournai doucement, face Ă  lui, sa respiration frappait contre mon nez. Je me collai Ă  lui, un peu plus, glissant ma tĂȘte dans le creux de sa nuque. Je l'embrassai dĂ©licatement, remontant vers sa mĂąchoire, touchant ses lĂšvres. Cela ne le rĂ©veilla pas. Une vraie marmotte ce gars. Je l'embrassai Ă  deux nombreuses reprises, attendant qu'il se rĂ©veille sous le lĂ©ger choc de mes baisers sur sa peau. Son bras droit Ă©tait passĂ© par-dessus mon corps, venant rapprocher nos deux ĂȘtres. Je l'embrassai encore une fois et il y rĂ©pondit doucement. Ses paupiĂšres s'ouvrirent, laissant place Ă  son regard bleu endormi. Ma main vint caresser son dos, de maniĂšre tendre, comme pour ne pas le brusquer de son rĂ©veil. Bien dormi ? » lui soufflais-je doucement contre ses lĂšvres. Il Ă©tait adorable quand il se rĂ©veillait et avait des airs d'enfants, d'enfants perdus qu'on voudrait aider par tous les moyens. Une nouvelle fois, je collai mes lĂšvres aux siennes sans me poser de questions, sans rĂ©flĂ©chir au pourquoi du comment de nos disputes passĂ©es. Il Ă©tait lĂ , moi aussi. Quoi de plus important ? Ses lĂšvres Ă©taient enivrantes, horriblement enivrantes. Je fondais dans ses bras, c'est court. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Jeu 1 Juil - 1521 Louhan finit par se laisser gagner par le sommeil. Glissant dans les bras de MorphĂ© sans Ă©mettre la moindre rĂ©sistance. Il se laissa aller dans ce gouffre sombre et rĂ©parateur. Loin des interrogations, des problĂšmes. Loin des disputes, loin de toux. Juste peuplĂ©es de crĂ©atures bizarres, de situations Ă©tranges, de rĂȘves dĂ©rangeants mais non rĂ©el. Louhan ne sut combien de temps avait-il dormit. Dehors il faisait toujours jour, c'Ă©tait peut-ĂȘtre dĂ©jĂ  l'aprĂšs-midi. S'Ă©tant couchĂ© le matin assez tard cela ne serrait pas choquant qu'en effet cela soit l'aprĂšs-midi. Il fut rĂ©veillĂ©, tirĂ© de son sommeil par de doux baisers. Au dĂ©but glissant entre rĂȘve et rĂ©alitĂ© il n'arriva pas Ă  discerner qui Ă©tait quoi. Puis peu Ă  peu il Ă©mergea Il sentit les lĂšvres de Hopeless appuyer lĂ©gĂšrement plus fort. Un rĂ©veille comme celui-ci on ne pouvait demander mieux. Il rĂ©pondit dopucement Ă  son baiser, ouvrant peu Ă  peu ses paupiĂšres. Le soleil agressant ses pupilles endormies. Il cligna des yeux quelques fois faisant enfin acte de prĂ©sence dans la rĂ©alitĂ©. Bien dormi ? » Il la regarda un demi sourire aux lĂšvres bien que Louhan Ă©tait pas le genre Ă  sourire comme un con mĂȘme sous l'effet de l'amour. Il ferma de nouveau els yeux fronçant les sourcil et Ă©touffant un baillement. ouai...j'ai connus pire...et toi? » demanda-t-il au bout d'un moment. Bon Louhan et les conversations du matin s'Ă©tait pas toujours frais et gĂ©nial. Les seules conversations assez longues qu'il avait pu avoir avaient Ă©tait avec MaĂŻween mais cela finissait tuojours en engueulade et dĂ©part violent. Louhan caressa le visage de la jeune fille avant de s'Ă©loigner de ses bras. Et essayant de vraiment se rĂ©veiller alla dans la salle de bain. Envie du matin, pisser et prendre un mĂ©dicament. Il aperçut son reflet dans le miroir et soupira en se passant de l'eau dessus. Puis il sortit de la salle e bain, chopant son briquet au passage il voulut prendre une cigarette lorsque son regard se posa sur un joing, il fut surprit qu'il soit d&Ă©jĂ  prĂšs. Il le prit et l'alluma; revenant dans la chambre avec Hopeless. Il avait au passage prit un bol de cĂ©rĂ©als pour Hopeless et lui apporta. Le glissa sur la couverture il s'allongea Ă  ses cotĂ©s. Sur le dos faisant volĂ© la fumer vers le aussi dĂ©solĂ© xD InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Mer 7 Juil - 1631 MĂȘme comme il dormait, Louhan Ă©tait beau. Mais ce qui Ă©tait encore plus beau chez lui, c'est que sans le savoir il avait un visage d'ange. Certes, il Ă©tait carrĂ©, dur. Mais non, moi je le voyais comme doux et simple. Un visage dont je ne pouvais plus me passer. Sous la pression de mes baisers, il Ă©mergea. Enfin. Je l'accueilli dans le monde des rĂ©veillĂ©es, un grand sourire aux lĂšvres, l'embrassant une derniĂšre fois. MĂȘme quand il avait la tĂȘte dans le brouillard, Louhan Ă©tait terriblement sexy.. Comment faisait-il ? Ouais.. J'ai connus pire.. Et toi ? » Je lui souris, doucement, caressant dĂ©licatement son torse. Je ne peux que bien dormir dans tes bras. » Ces paroles Ă©taient terriblement franches et je rougis, une Ă©niĂšme fois face Ă  lui. Si ĂȘtre naturel me rendait dans un tel Ă©tat, je n'Ă©tais pas sortie de l'auberge expression pourrie, certes. Ses mains caressĂšrent mon visage, avant qu'il ne quitte mon Ă©treinte d'enfant et il sortit de la chambre. Prenant une inspiration, son odeur entrait dans mes narines, une nouvelle fois bien qu'elle ne soit pas revint, un joint Ă  la bouche. Ça ne sentait pas pareil que d'habitude. Il glissa un bol de cĂ©rĂ©ales sur le lit que je pris, me relevant. Ce gars savait tout de moi, comme le fait que j'Ă©tais une grosse-bouffe surtout le matin. Lui, allongĂ© en train de fumer. Je finis mon bol avant qu'il ne finisse son joint, ce qui me surpris. J'allais finir grosse, si ça continuait. Je posai le bol par terre, attendant sagement qu'il ne fisse de fumer, le regardant en souriant bĂȘtement. Comme une enfant. Je me mis sur lui lorsqu'il finit son joint, l'embrassant Ă  pleine bouche. Non, tu n'as pas le droit de me repousser, tu as seulement le droit de rester immobile et de rĂ©pondre Ă  mes baisers. » J'avais toujours peur qu'il ne me rejette, l'embrassant Ă  nouveau, goĂ»tant Ă  ses lĂšvres, son haleine au goĂ»t bizarre. Je grimaçai. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Ven 9 Juil - 1318 Je ne peux que bien dormir dans tes bras. » Louhan avait juste sourit. Que dire de plus Ă  ceci? Rien, il n'y avait rien Ă  dire. Aucune rĂ©flĂ©xion piquante dont il Ă©tait maĂźtre, aucune mĂ©chancetĂ©. Non juste un plaisir amusĂ© de voir que la fille qu'il aimait, la fille qui avait tant gagner en lui, prenait tous simplement du plaisir Ă  ĂȘtre avec lui. rien que sa prĂ©sence la comblait, que dire que souhaiter de plus? Il la vit rougir, et s'Ă©chappa dans la salle de bain pour ne pas non plus tomber dans le truc clichĂ© des matins en amoureux. Il avait beau avoir fait des efforts. Depuis les derniĂšres heures avoir franchit un cap Ă©norme. Il ne pouvait pas pour autant changer d'un coup et axepter tous. Nan il y avait des choses qui encore resterait. La drogue, son cotĂ© "je m'en fou", les soirĂ©es, l'alcool, sa vie. Oui il ne pouvait pas y rĂ©noncĂ©, c'Ă©tait ça qui lui avait permit de tenir durant toutes ces annĂ©es. Donc il ne pouvait pas se stoper d'un coup. Il l'aimait oui. Comme un fou, comme un soldat, comme une star de cinĂ©ma et passons... Non il savait qu'il l'aimait, pas que pour son corps, par que pour son cotĂ© revĂšche et tĂ©tue, ni son cotĂ© bornĂ© et collante. Non il l'aimait car elle Ă©tait Hopeless tous simplement car elle formait un tout et car malgrĂ© tous, malgrĂ© ce qu'il avait apprit la veille. Elle Ă©tait bien plus pure et angĂ©lique que lui et n'importe quel acte commit par elle ne changerait cette certitude. Il en Ă©tait bel et bien amoureux de cette fille s'Ă©tait installĂ© sur le lit, fumer son joing. DĂ©compressant lentement, de toute cette pression accumulĂ© depuios la veille. Il avait envie de partir aux CaraĂŻbes. Il Ă©tait entrain de se demander combien sa devait couter et si il devrait prendre juste des jeans et maillots de bain, ou alors pull en laine. Oui en effet Louhan Ă©tait vraiment pas le mec ordinaire Ă  s'Ă©piloguer sur une fille, sur l'amour et la dichotomie de la haine Ă  l'amour. Non il Ă©tait dĂ©jĂ  loin et s'Ă©tait sa maniĂšre de ne pas se laisser sumrger par tous ces sentimentssi nouveaux, si terrifiant mais si bon au fond. Il termina son joing, l'Ă©crasa dans le cendrier posĂ© sur le matela Ă  ses cotĂ©s. Il ferma une seconde les yeux puis le rĂ©ouvrit sentant un poid plume sur lui. Il sourit amusĂ© rĂ©ouvrant ses paupiĂšres. Sentant les lĂšvres de Hop' venir s'emparer des sienne. Il se laissa faire par les maisn et les lĂšvres de la jeune femme. De sa copine. Non, tu n'as pas le droit de me repousser, tu as seulement le droit de rester immobile et de rĂ©pondre Ă  mes baisers. » Il rit, il s'Ă©sclafa en la regardant qui lui tenait les bras. Il sourit Ă  ceci et rĂ©pondit nĂ©anmoins Ă  ses baisers. Tu te figures que tu es en position de m'ordonner quelque chose? Avec cette froce de moineau? » rĂ©pondit-ilm au bout d'un moment. Il enroula ses jambes autour des fines hanches de la jeune fille. Puis d'un coup de bassin il la souleva et la fit tourner. Se retrouvant sur elle, la tenantpar les poignets. Un sourire machiavĂ©lique aux lĂšvres. C'est pas bon de jouer avec le feu...» Il sourit venant l'embrasser dans le cou, mordillant doucement sa peau tiĂšde et si enivrante. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Ven 9 Juil - 1836 Mon professeur de LittĂ©rature allait me tuer demain et surement me demander pourquoi je ne lui avais pas fait l'honneur de ma prĂ©sence. Je pourrai lui dire la vĂ©ritĂ©. Lui dire que j'Ă©tais avec mon copain » - rien que le fait de le prononcer mentalement me fit frissonner - car la veille, je me suis endormie chez lui, beaucoup trop fatiguĂ©e pour rentrer chez moi. Et pourquoi j'avais Ă©tĂ© fatiguĂ© ? Parce que j'avais passĂ© ma soirĂ©e Ă  lui courir aprĂšs, pour lui expliquer ma relation Ă©trange avec mon frĂšre. Oui, j'aurais pu le dire, mais non, je n'allais pas le faire. Je lui dirai seulement que et bien, je n'avais pas entendu mon rĂ©veil sonner ce qui n'Ă©tait pas faux d'un sens, car je ne l'avais mĂȘme pas mis. Il tira sur son joint, une nouvelle fois, pendant que les cĂ©rĂ©ales craquaient sous mes dents. J'avais tout le temps faim, j'Ă©tais un estomac ambulant, bon Ă  manger tout ce que je pouvais trouver. MĂȘme manger Louhan me paraissait possible. Je dĂ©posai mon bol, attendis qu'il finisse de fumer et lui grimpa dessus dĂ©licatement. Je ne comptais pas non plus l'Ă©craser. Mes lĂšvres se scotchant aux siennes une Ă©niĂšme fois. Louhan Canteberry, tu es ma drogue. L'attrapant par les mains, je lui souris. Tu te figures que tu es en position de m'ordonner quelque chose ? Avec cette force de moineau? » En un rien de temps, il se retrouva sur moi, m'attrapant les poignets en souriant. C'est bien connu que les femmes te sont soumises, n'est-ce pas ? Et merci pour la comparaison, j'aime ĂȘtre un moineau. » Boudant, je ne pus dire non lorsqu'il dĂ©posa ses lĂšvres dans mon cou. C'est pas bon de jouer avec le feu...» Je me mordis alors la lĂšvre infĂ©rieure. Et c'est toi qui dit ça ? » soupirais-je, Ă©touffant un rire. Je le laissai m'embrasser, me mordre, me lĂ©cher, me manger, dans ses bras, je me laissais complĂštement aller. Je glissai mes jambes derriĂšres les siennes, nos lĂšvres se caressĂšrent, nos langues se cherchĂšrent pour enfin se trouver. J'adorai ĂȘtre dans les bras de ce garçon aux yeux bleus. J'adorai ĂȘtre dans les bras de mon copain. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Mer 14 Juil - 1827 Louhan ne fichait jamais grand chose de ses ournĂ©es. Il lisait, il se baladait ou dĂ©cuvait tranquillement. Il n'avait rien d'autre Ă  faire que se qu'il voulait donc ne risquait pas de devoir rendre des comptes Ă  qui que ce soit. Bien qu'il avait peut-ĂȘtre des potes Ă  aller voir. Mais la prĂ©sence de Hopeless lui faisait oublier toute vie rĂ©elle. Il ne pouvait pas lui en vouloir, il se doutait bien qu'elle n'avait pas l'intention de lui faire oublier le reprit le dessus lorsqu'il la vit se pencher sur lui pour le bloquer. Il en rit et en quelque secondes se retrouva sur elle. C'est bien connu que les femmes te sont soumises, n'est-ce pas ? Et merci pour la comparaison, j'aime ĂȘtre un moineau. » Louhan explosa de rire, ne pouvant se contrĂŽler. Puis la voyant bouder il commença Ă  dĂ©poser de doux baisers dans son cou. Bloquant toujours ses maisn avec les siennes. Ce n'est quand mĂȘme pas ma faute si mon charme lĂ©gendaire vous soumet toutes, si?.. Toi tu es encore mieux tu es hyper sexy comme moineau... » souffla-t-il sachant trĂšs bien qu'il Ă©tait pas trĂšs franc ses sentiments le rendant moins objectif. Non mĂȘme sans ĂȘtre dingue de Hope' on ne pouvait que la trouver sexy. Il l'embrassa de nouveau. Sa langue venant courir sur sa peau si dĂ©licieuse. Il l'entendit rĂ©torquer. Et c'est toi qui dit ça ? » Il revint Ă  ses lĂšvres plongeant ses yeux bleu sĂ©rieux dans le regard de la jeune femme. Il bloqua ses deux mains avec l'aide d'une seule des siennes. De l'autre il remit une mĂšches de cheveux brun Ă  sa copine. Je prĂ©fĂšre que ce soit moi alors qui y joue alors... » dit-il. Puis il sourit de nouveau chassant ce petit air sĂ©rieux de ses yeux. Il la sentit enrouler ses jambes autour des siennes; il se mordilla la lĂšvre envieux. Ses lĂšvres plongeant Ă  la recherche de celles d'Hope'; leur langues se trouvant rapidement. Tandis qu'habituĂ©, sa main libre venait caresser la peau de la jeune fille sous son dĂ©solĂ© Contenu sponsorisĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi le doux souvenir amer de toi et moi Page 1 sur 2Aller Ă  la page 1, 2 Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum COMMENCEMENT. Corbeille J’avais faim et vous m’avez donnĂ© Ă  manger» SoirĂ©e animĂ©e par Christophe Lafaye PrĂȘtre Ă  Bergerac Geste de solidaritĂ© au profit des associations caritatives locales. Eglise de Sainte Foy la grande 33220 4 avril 2014 Ă  20 heures Samedi 29 mars Sainte Gladys ‱ 18h Messe Ă  Saint Aulaye (Familles PrĂ©vot, Henri Guerrier et Pierre Andro) ‱ 20h30 Rencontre de l’équipe des Louis Segond LSG Version Previous Next 35 Car j'ai eu faim, et vous m'avez donnĂ© Ă  manger; j'ai eu soif, et vous m'avez donnĂ© Ă  boire; j'Ă©tais Ă©tranger, et vous m'avez recueilli; 36 j'Ă©tais nu, et vous m'avez vĂȘtu; j'Ă©tais malade, et vous m'avez visitĂ©; j'Ă©tais en prison, et vous ĂȘtes venus vers moi. 37 Les justes lui rĂ©pondront Seigneur, quand t'avons-nous vu avoir faim, et t'avons-nous donnĂ© Ă  manger; ou avoir soif, et t'avons-nous donnĂ© Ă  boire? 38 Quand t'avons-nous vu Ă©tranger, et t'avons-nous recueilli; ou nu, et t'avons-nous vĂȘtu? 39 Quand t'avons-nous vu malade, ou en prison, et sommes-nous allĂ©s vers toi? 40 Et le roi leur rĂ©pondra Je vous le dis en vĂ©ritĂ©, toutes les fois que vous avez fait ces choses Ă  l'un de ces plus petits de mes frĂšres, c'est Ă  moi que vous les avez faites. 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Car j’avais faim, et vous m’avez donnĂ© Ă  manger ; j’avais soif, et vous m’avez donnĂ© Ă  boire. » Puis JĂ©sus s’identifie Ă  l’un des siens.
9 juin 2016 4 09 /06 /juin /2016 1113 J’avais faim et vous m’avez donnĂ© Ă  manger »  De quelle faim ? de prĂ©sence, de parole partagĂ©e, de ses,de nourriture terrestre comme spirituelle ! L’homme ne se nourrit pas seulement de pain mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu Mt 4,4 PauvretĂ© rurale un Ă©tat des lieux La pauvretĂ© dans les campagnes revĂȘt diffĂ©rents aspects. Certes, le manque de nourriture est rare chez les agriculteurs, mais certaines familles ayant beaucoup travaillĂ© se retrouvent, Ă  cause de la crise de l'Ă©levage notamment, dans l’impossibilitĂ© d'offrir Ă  leurs enfants les Ă©tudes qu'ils aimeraient faire, ou de renouveler une voiture arrivĂ©e depuis longtemps Ă  bout de souffle. Chez ces personnes on trouve souvent un Ă©tat de dĂ©couragement et de rĂ©volte important Tant travailler et ne plus arriver a assumer l'essentiel ! â€șâ€ș Les agriculteurs retraitĂ©s ont vĂ©cu la modernisation de l’agriculture sans pour autant en bĂ©nĂ©ficier. Pour ceux encore en activitĂ©, le suicide reste malheureusement trop souvent la seule issue envisagĂ©e. Il existe une autre forme de pauvretĂ©, nouvelle celle-ci des couples avec des enfants jeunes, louent souvent de vieilles maisons en campagne. Ils occupent en gĂ©nĂ©ral un emploi prĂ©caire qui leur permettrait de vivre dĂ©cemment si seulement ils Ă©taient inventifs et bons gestionnaires. Les bonnes pratiques traditionnelles Cultiver un potager, stocker Ă  temps du bois de chauffage, hiĂ©rarchiser les dĂ©penses, maĂźtriser la consommation d'alcool et de tabac... â€șâ€ș ne sont pas forcĂ©ment suivies. RĂ©sultat prĂ©caritĂ©, dĂ©prime morale, recherche de copains qui leur ressemblent au bar, incapacitĂ© de payer les frais essentiels Ă©lectricitĂ©, garage, cantine scolaire... ! La descente sociale s'accĂ©lĂšre. Des situations trĂšs diffĂ©rentes donc, avec des besoins d'Ă©coute, d'attentions, et d”aides trĂšs diffĂ©rents aussi. Nos missions sur le terrain s'adaptent Ă  ces situations et nous tentons, dans le respect des personnes, d'apporter des solutions matĂ©rielles, humaines et spirituelles. RenĂ© et Marie AndrĂ©e Stuyk, diacre en mission auprĂšs des agriculteurs et son Ă©pouse RenĂ© Borie, diacre en mission auprĂšs des travailleurs saisonniers Fernand Sanchez, diacre responsable du service dâ€Ă©coute Published by Paroisse Sainte Marie en Agenais
Car j’ai eu faim, et vous m’avez donnĂ© Ă  manger; j’ai eu soif, et vous m’avez donnĂ© Ă  boire" Matthieu 25:35 - PoĂšmes chrĂ©tiens - Journal ChrĂ©tien
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. Mais comment aurais-je fait Ă  l’époque quand tout allait mal et qu’il me fallait partir ? et si je n’étais pas partis mon fils serait orphelin de mĂšre et de pĂšre, je n’aurai pas connu Guido

 Des larmes coulaient sur mes joues, je ne savais plus
. Est-il donc plus simple de laisser partir son Ă©pouse plutĂŽt que JĂ©rĂŽme ? Je pensais qu’il avait compris que nous avions besoin de nous donner du temps rien que pour nous, que depuis sa rencontre avec JĂ©rĂŽme, nos fiançailles, son Ă©lection aux ducales en tant que gardien du peuple, notre mariage et sa réélection en tant que procureur, nous n’avons rien eu pour nous

 ou peut-ĂȘtre suis-je trop exigeante ? Je continuais mon chemin vers l’écurie la vision trouble de par mes larmes qui n’avaient de cesse de bien soit, je me rendrais chez Aylla lui expliquant que cela n’était plus possible pour JĂ©rĂŽme et qu’à l’occasion, je prendrai Abela quelques jours guidoniusNombre de messages 424Date d'inscription 14/04/2007Sujet Re L'enclos Ven 31 AoĂ» - 1335 Guidonius fut rassurĂ© en voyant que sa belle princesse n'avait pas encore eut le temps de seller son cheval. Il la rejoignit dans l'enclos, et lui posa un tendre coeur d'amour, j'ai surement encore Ă©tĂ© bien maladroit, mais je t'aime plus que tout et cette journĂ©e qui te tiens tant Ă  coeur m'est plus qu'agrĂ©able. Pendant que tu ammene JĂ©rome chez Aylla, je vais nous prĂ©parer un panier repas, comme celĂ  nous aurons encore plus de temps pour nous promener et aller lĂ  ou tu aida sa belle princesse Ă  installer JĂ©rome pour le court voyage jusque chez Aylla. caroAdminNombre de messages 293Date d'inscription 13/02/2007Sujet Re L'enclos Ven 31 AoĂ» - 1923 Alors que je me dirigeais vers les Ă©curies en passant par l'enclos, Guidonius Ă©tait venu me rejoindre avec JĂ©rĂŽme. J'eus Ă  peine le temps de sĂ©cher mes larmes qu'il me dĂ©posa un baiser et s'excusant d'avoir probablement Ă©tĂ© maladroitJ'avoue ne pas trop avoir compris ta rĂ©action, que je ne savais plus que penser et que laisser JĂ©rĂŽme te contrariait fortement. Tu sais, il m'arrive parfois de rĂ©agir au quart de tour, et .......... non en fait, ce n'est pas la peine d'en rajouter, je n'ai pas envie de gĂącher cette journĂ©e et comme tu sembles prĂȘt Ă  laisser partir JĂ©rĂŽme et bien je vais l'emmener chez AyllaGuido m'aida Ă  seller mon cheval, Ă  y mettre le sac puis JĂ©rĂŽme lui fit un Ă©norme baiser avant que Guido l'aidais Ă  s'installer tout contre moi Merci pour ton aide, je crois que nous sommes prĂȘts, allons-y. Je ne tarde pas trop, je ferai au plus vite Je fis avancer VĂ©nusia pour qu'elle sorte de l'enclos avant de la lancer au trot en direction de chez mon amie caroAdminNombre de messages 293Date d'inscription 13/02/2007Sujet Re L'enclos Dim 2 Nov - 1740 [Le lendemain de la rĂ©ception]Je venais de subir un nouveau choc et cela ne faisait qu'un de trop. ArrivĂ©e prĂšs de l'enclos, je m'appuyais sur la barriĂšre, levant la tĂȘte au ciel laissant lĂ  mes larmes couler. Mon coeur souffrait et je n'arrivais pas Ă  comprendre pourquoi Aristote m'infligeais une fois de plus une telle Ă©preuve. Notre famille n'avait-elle donc pas encore assez souffert pour que cela continue encore et encore ? Je fermais les yeux, baissant ma tĂȘte pour la poser au creux de mes mains. Cacher ce visage qui pleurait, cacher ces larmes, cacher cette souffrance qui Ă©tait au fond de moi. Epouse indigne d'avoir abandonnĂ©e son Ă©poux, mĂšre indigne incapable d'aider ses enfants... voilĂ  sans doute ce que le TrĂšs Haut voulait peut-ĂȘtre me faire passer comme message. Me serais-je donc trompĂ©e Ă  ce point lĂ  sur ma vie ? moi qui avais toujours pensĂ© faire de mon mieux.... me voilĂ  devant un tableau et une situation Ă  laquelle je ne pensais jamais Ă  avoir faire face un jour... JĂ©rĂŽmeNombre de messages 10Date d'inscription 02/11/2008Sujet Re L'enclos Dim 2 Nov - 1757 JĂ©rĂŽme avait suivit sa mĂšre, elle Ă©tait appuyĂ© contre la barriĂšre le visage entre ses mains et il lui semblait qu'elle pleurait. Il arriva discrĂštement derriĂšre elle, puis la pris dans ses ne pleure plus, tu sais que ce n'est pas Ă  cause de toi, tu.... tu sais que je t'aimeIl serra sa maman dans ses bras, et lui fit un baiser sur la joue. clemenceNombre de messages 18Date d'inscription 18/10/2008Sujet Re L'enclos Dim 2 Nov - 1844 Maman, ne pleure plus, tu sais que ce n'est pas Ă  cause de toi, tu.... tu sais que je t'aimeClĂ©mence arrive sur ses mots et les regarde surprise. Tout ses doutes s'envolent et une seule chose reste Ă  son esprit, sa mĂšre..leur mĂšre pleure. *Pourquoi pleure-t-elle?* La petite ne comprend pas, s'avance un peu plus prĂšs et cherche des paroles rassurante, comme sa mĂšre fait pour elle, lorsqu'elle est ne pleure pas. Je t'aime aussi, maman. Nous allons rentrer au moulin et nous serons heureux tout les trois comme avant. Tu verra, nous serons de nouveau heureux ensemble. Nous n'avons pas besoin d'eux. pensant que le problĂšme rĂ©side dans cette nouvelle famille pour elle aussiClĂ©mence s'approche et saisit sa mĂšre et son frĂšre dans chacune de ses vous aime tout les deux. caroAdminNombre de messages 293Date d'inscription 13/02/2007Sujet Re L'enclos Dim 2 Nov - 2054 Des bras se resserraient autour de moi, c'Ă©tait ceux de mon fils. Du revers de la main je sĂ©chais mes larmes coulant sur mes jouesMaman, ne pleure plus, tu sais que ce n'est pas Ă  cause de toi, tu.... tu sais que je t'aimeJe serrais Ă  mon tour mon fils dans mes bras quand une petite voix se fit entendre. Une petite voix que je n'avais plus entendu depuis deux joursMaman...Maman ne pleure pas. Je t'aime aussi, maman. Nous allons rentrer au moulin et nous serons heureux tout les trois comme avant. Tu verra, nous serons de nouveau heureux ensemble. Nous n'avons pas besoin d' voix de mes enfants se faisait douce et rassurante tout comme l'Ă©treinte de JĂ©rĂŽme et la main de ClĂ©mence dans la mienne. Mais les paroles de l'un et de l'autre me renvoyait la vĂ©ritĂ© en face, vĂ©ritĂ© que je devais de ne pas pleurer je respirais un grand coup Mes enfants, mes trĂšs chers enfants... moi aussi je vous aime....tour Ă  tour j'embrassais mon fils et ma fille sur le front, puis le lĂąchant je m'asseyais Ă  mĂȘme le sol, en tailleur, dos contre la barriĂšre de l'enclos. Libre Ă  eux d'en faire de mĂȘme s'ils le souhaitaient. HabillĂ©e une fois de plus en braies, chemise et hautes bottes pour le voyage je profitais pour m'installer convenablement. Je regardais vers l'Ă©curie, Guidonius ne nous avait pas encore rejoins, sans doute Ă  s'occuper encore de Tornade. J'espĂ©rais silencieusement qu'il nous dĂ©visageais tour Ă  tour mes enfants avant de me laisser aller Ă  dire ce qui aujourd'hui me revenait tel un retour de manivelleMes enfants.... tout ce qui vous arrive est de ma faute.....entiĂšrement de ma faute. Je me rends compte aujourd'hui que j'ai tout gĂąchĂ©, que je vous ai privĂ© de ce qui est le plus important pour des enfants... et je m'en veux ClĂ©mence... je vous ai privĂ© de votre pĂšre, j'ai abandonnĂ© votre pĂšre ne pensant pas un seul instant aux dĂ©gats que pourraient causer cette sĂ©paration. Aujourd'hui votre pĂšre est un inconnu pour vous, et.... je ne me le pardonne famille si grande.... si nous ne la connaissons pas... c'est de ma faute. Si vous n'avez pas eu le petit frĂšre ou la petite soeur que j'ai perdue c'est de ma faute aussi.... Je sentais Ă  nouveau des larmes perler mais je ne pouvais les retenir tel en Ă©tait le mal au fond de moi .... si quelqu'un doit en subir les consĂ©quences, c'est moi et personne d'autre.... c'est moi qui ai divisĂ© notre famille... c'est Ă  moi que vous devez en vouloir. J'ai mal et j'en ai le coeur dĂ©chirĂ© de vous avoir fait subir tout cela. Si vous saviez comme je regrette tout cela.... je ....je vous demande pardon guidoniusNombre de messages 424Date d'inscription 14/04/2007Sujet Re L'enclos Lun 3 Nov - 022 Guidonius entendit les derniĂšres paroles de Caro en rejoignant son petit monde; il en eut un choc au coeur. Ce n'Ă©tait pas ainsi qu'il voyait les choses. Il s'approca et passa ses mains autour du cou de sa belle princesse;Mon coeur, les enfants sont assez grand pour comprendre.... et tu n'es coupable de rien... les vrai coupables, nous les connaissons, ce sont ces maudits arrogants nobles qui nous ont fait tant de mal; qui ont divisĂ© la Champagne, causĂ© l'exil de ses meilleurs habitants, et dĂ©chirĂ© notre couple. Nous avons subit cette Ă©preuve du mieux que nous avons pu, et si nous nous retrouvons ici ajourd"hui, c'est bien parce que l'amour que nous avons pour nous deux, que nous avons pour nos enfants est plus fort que tout. JĂ©rome, ClĂ©mence, venez embrasser votre mĂšre et moi, votre pĂšre, qui ne vous ai jamais oubliĂ©, nous avons beaucoup de temps Ă  rattraper, mais l'amour que nous avons pour vous nous aidera Ă  le clemenceNombre de messages 18Date d'inscription 18/10/2008Sujet Re L'enclos Lun 3 Nov - 1757 ClĂ©mence ne comprend pas pourquoi sa mĂšre parle de famille divisĂ©. Pour elle, sa famille a toujours Ă©tĂ© uni....tout les trois. Sa vie est dans le BĂ©arn, ignorant tout ou presque du passĂ©. La petite ignore l'homme qui s'avĂšre ĂȘtre son pĂšre et s'adresse uniquement Ă  sa mĂšre, d'abord d'un ton sec qui s'adoucit peu Ă  ne te pardonne pas...je ne te pardonne pas de nous avoir aimĂ© pendant tout ce temps, de nous avoir Ă©levĂ© avec cet amour, d'avoir pris soin de nous lorsque nous Ă©tions malade, de m'avoir pris dans tes bras Ă  chaque fois que j'Ă©tais triste. Je ne te pardonne ni tout ceci, ni tout le reste, car il n'y a rien a pardonner. laissant apparaitre un sourirePour moi tu es la meilleur des maman et JĂ©rĂŽme le meilleur des frĂšres. Je n'ai jamais manquĂ© d'amour avec vous. VoilĂ  pourquoi je ne ressens pas le besoin de connaitre cette famille. Celle que nous formons tout les trois me suffit, il n'y a rien Ă  regretter. Pendant tout ce temps, l'enfant a rĂ©flĂ©chi Ă  cette histoire de petit frĂšre ou petite sƓur..ainsi ils auraient pu ĂȘtre quatre, une nouvelle dĂšs plus surprenante. Jamais elle a imaginĂ© sa vie avec un pĂšre ou un autre membre, en tout cas elle se l'est interdit....trop de questions sans rĂ©ponse et de douleur en son cƓur. Elle tente d'ĂȘtre drĂŽle, tout en restant puis, je suis contente qu'il en soit ainsi...autrement j'aurai eu moins de petite n'ose s'approcher pour rĂ©conforter sa mĂšre, s'approcher d'elle l'amenant inĂ©vitablement Ă  s'approcher Ă©galement de son paroles du messir l'ont mis mal Ă  l'aise. Si elles sont vrai, pourra-t-elle pardonner sa mĂšre ceci? ClĂ©mence hĂ©site, puis se ce que tu l'aime...vraiment? Est ce que l'amour de JĂ©rĂŽme et de moi ne te suffit plus, tu as aussi besoin du sien?La rĂ©ponse lui fait peur, afin de cacher son angoisse, elle s'adresse d'un ton froid Ă  son vous l'aimez, faite en sorte que ma mĂšre ne pleure plus et qu'elle soit heureuse. guidoniusNombre de messages 424Date d'inscription 14/04/2007Sujet Re L'enclos Mar 4 Nov - 021 Guidonius sourit aux paroles de sa sais ClĂ©mence, des calins, bĂ©bĂ© tu n'en a jamais manquĂ©, ni de ta mĂšre ni de moi. Peut-ĂȘtre ne t'en souviens-tu pas, mais Ă  4 tu en aurrait eu toujours autant, voire plus, car nous t'aimons trĂšs fort ta mĂšre et moi. Et puisque tu me pose la question, oui je l'aime, nous nous sommes toujours aimĂ© d'un amour ardent, que beaucoup nous ont enviĂ©.... et qu'ils ont cherchĂ© en vain Ă  dĂ©truire. Ne vois-tu pas comme ta mĂšre est heureuse aujourd'hui, avec ses deux enfants et son mari comme je le suis Ă©galement ?_________________ clemenceNombre de messages 18Date d'inscription 18/10/2008Sujet Re L'enclos Mar 4 Nov - 125 Il sourit? ClĂ©mence n'en revient pas, surtout les derniĂšres paroles. Elle hausse un sourcil et lui rĂ©pond avec oui! Je vois ça...ma mĂšre est trĂšs heureuse en ce moment. A tel point qu'elle se sent coupable et en pleure. Depuis que je vous ai vu, je n'ai jamais vu ma mĂšre si heureuse. Elle croise les bras et dĂ©tourne le regard.*Et cet homme est mon pĂšre!?* la petite laisse Ă©chapper un long soupir, tout en levant les yeux au ciel. *Ça promet!* caroAdminNombre de messages 293Date d'inscription 13/02/2007Sujet Re L'enclos Mar 4 Nov - 208 Alors que je terminais ma confession aux enfants je voyais Guidonius arriver. Plus il se rapprochait plus il pouvait entendre mes paroles et lorsqu'il posa ses mains sur mon cou, je me rendais compte que mes mots l'avaient sans doute pertubĂ© un peu. SĂ©chant une fois de plus mes larmes, je relevais la tĂȘte pour le regarder esquissant un lĂ©ger ce qu'il me disait et il avait raison. Si tous ces malheurs nous Ă©taient arrivĂ©s, ce n'Ă©taient dĂ» qu'Ă  certaines personnes. Mais au fond de moi je m'en voulais encore d'ĂȘtre partis et d'avoir privĂ© les enfants de leur pĂšre un temps. MĂȘme si tout cela Ă©tait derriĂšre nous Ă  prĂ©sent et que pour mon plus grand bonheur j'avais retrouvĂ© l'homme que je n'avais jamais cessĂ© d' demanda aux enfants de venir nous embrasser, mon regard se tourna vers eux, me demandant quelle rĂ©action ils allaient avoir. Je m'attendais Ă  ce que JĂ©rĂŽme dise quelque chose, mais contre toute attente c'est Clemence qui prenait la paroleJe ne te pardonne pas...Les premiers mots furent un choc et sur le moment j'avais bien cru que mon coeur allait cesser de battre, mais elle enchainait et ce qu'elle disait me touchait profondĂ©ment. Je remontais mes mains et les posaient sur celle de Guidonius tout en les serrrant trĂšs fort et laissant Ă©chapper un soupir tout en Ă©coutant ma fille. Et puis ce petit sourire qui naissait sur son visage. A prĂ©sent c'est des larmes de joie qui perlaient, des larmes qui montraient Ă  quel point ma fille me touchait de ses mots mĂȘme si l'allusion Ă  la famille et Ă  son pĂšre me renvoie la triste vĂ©ritĂ©. Et puis ces mots concernant la perte de l'enfant. La comparaison venant d'une enfant de son Ăąge est sans doute normale mais mĂȘme si je ne lui en voulais pas, je souffrais de cette perte mais le gardais au fond de la regardais ne sachant que dire, que rĂ©pondre. J'en restais bouche bĂ©e. Mais arrivait la question inattendue, comme bien souvent la plupart de ses propos. Du haut de son jeune Ăąge elle parlait souvent comme une adulte et arrivait souvent Ă  m' ce que tu l'aime...vraiment? Est ce que l'amour de JĂ©rĂŽme et de moi ne te suffit plus, tu as aussi besoin du sien?Un regard Ă  JĂ©rĂŽme, Ă  Clemence, un autre pour Guidonius avant de revenir vers ma fille en lui souriant lui rĂ©pondre mais sans attendre que je ne le fasse elle enchaĂźna sur un ton froid Ă  son pĂšreSi vous l'aimez, faite en sorte que ma mĂšre ne pleure plus et qu'elle soit rĂ©ponse de mon tendre Ă©poux Ă©tait juste et j'espĂ©rai que JĂ©rĂŽme et Clemence en avaient saisis le sens et comprenaient vraiment que notre amour Ă©tait fort et que malgrĂ© tout ce que nous avons du vivre, il n'a jamais cessĂ© d'exister. Mais les derniĂšres paroles de Guidonius n'avaient pas Ă©taient compris en ce sens pour Clemence. Une fois de plus elle se retranchait derriĂšre son apparence oui! Je vois ça...ma mĂšre est trĂšs heureuse en ce moment. A tel point qu'elle se sent coupable. Depuis que je vous ai vu, je n'ai jamais vu ma mĂšre si me semblait lĂ  qu'il Ă©tait temps pour moi de prendre la parole et de rĂ©pondre Ă  toutes ces interrogations qui n'avaient de cesse de tourbillonner dans l'esprit de notre fille. Je regardais Clemence qui levait Ă  prĂ©sent les yeux au puce regarde-moi s'il te plait. Je vais te rĂ©pondre et te dire ce que moi je votre pĂšre, je l'aime vraiment... je l'aime trĂšs fort, autant que je vous aime toi et JĂ©rĂŽme..... et l'amour que toi et ton frĂšre pouvez me porter compte beaucoup pour moi. Votre amour et l'amour que peut me porter votre pĂšre, tout comme l'amour que moi je peux vous porter Ă  tous les trois est identique. J'ai besoin de votre amour Ă  vous trois, comme j'ai besoin moi de vous donner mon amour Ă  tous les trois. Et si j'ai pleurĂ© ce n'est pas parceque je ne suis pas heureuse, c'est tout simplement parceque je me rends compte que je vous ai privĂ© de choses importantes dans votre vie. Votre pĂšre m'a demandĂ© d'oublier ce passĂ© et de regarder devant moi. Je fais de mon mieux mes amours, mais je pense que sans votre aide cela prendra plus de temps que prĂ©vu. J'ai besoin de vous. Toi Clemence, toi JĂ©rĂŽme et toi mon coeur. J'ai besoin de vous, j'ai besoin de vous savoir auprĂšs de moi, j'ai besoin de savoir que nous ferons tout pour que notre famille, nous quatre, nous soyons heureux comme avant. Alors ma puce, oui ta maman sera la maman la plus heureuse qui soit, mĂȘme si je le suis dĂ©jĂ  de vous avoir tous les trois, lĂ  maintenant en cet endroit qui compte Ă©normement JĂ©rĂŽmeNombre de messages 10Date d'inscription 02/11/2008Sujet Re L'enclos Mar 4 Nov - 2101 JĂ©rĂŽme avait tout Ă©coutĂ© sans bronchĂ©, des paroles de sa mĂšre, de sa soeur et de son pĂšre. Beaucoup d'information Ă©taient venue d'un coup et il ne savait trop quoi penser de tout cela. Il avait au plus profond un malaise qu'il ne savait pas expliquĂ© lui mĂȘme, mais il ne voulais pas blessĂ© sa fĂźt un petit sourire forcĂ©, il fit un baiser sur le front de sa soeur, sur la joue de sa mĂšre et sourit Ă  son Ă  quoi il s'Ă©loigna, en direction de la forĂȘt. guidoniusNombre de messages 424Date d'inscription 14/04/2007Sujet Re L'enclos Mar 4 Nov - 2151 Guidonius vit JĂ©rome s'Ă©loigner avec un air triste. Il se doutait depuis quelque temps que son fils n'Ă©tait pas tres bien. Il alla le rejoindre pour parler seul avec je vois bien qe tout cela te perturbe beaucoup, mais tu sais, nous allons retrouver notre bonheur Ă  tous les quatre. Ici, loin du domaine, nous y sommes plus au as grandi, JĂ©rome, et il faut nous prĂ©occuper de ton avenir.... y as tu songĂ© un peu ? Tu sais que, comme Baron, j'ai besoin d'un Ă©cuyer.. et je pensais que maintenant que tu en as l'age, tu pourrais ĂȘtre mon ecuyer... qu'en penses-tu ? cea te ferait un bon dĂ©but apprentissage des armes. _________________ JĂ©rĂŽmeNombre de messages 10Date d'inscription 02/11/2008Sujet Re L'enclos Mar 4 Nov - 2343 JĂ©rĂŽme vit que son pĂšre le suivait, il s'arrĂȘta pour l'attendre. Aux paroles de son pĂšre le visage de JĂ©rĂŽme s'Ă©claira un peu.[Etre vĂŽtre Ă©cuyer, oh oui oui, pourquoi pas , c'est une excellente prit d'un coup son pĂšre dans ses ne sais pas pourquoi, mais je me sens mal et je ne sais pas pourquoi. guidoniusNombre de messages 424Date d'inscription 14/04/2007Sujet Re L'enclos Jeu 6 Nov - 1206 Guidonius serra trĂšs fort son fils dans ses bras. Il sentait bien qu'il Ă©tait mal depui quelque temps . Je le vois depuis quelque temps, mon fils, et je voudrais tellement que tu sois heureux. Vois tu, ces boulversements rĂ©cents ont un peu perturbĂ© tout le monde, ta mĂšre et moi Ă©galement, c'est bien pour cela que nous avons prĂ©fĂ©rĂ© venir passer un peu de temps ici, Ă  la clairiĂšre, ou notre bonheur n'est dĂ©rangĂ© par rien. Ici nous allons nous retrouver tous les quatre et reconstruire ce bonheur que nous avons perdu quelque temps. _________________ clemenceNombre de messages 18Date d'inscription 18/10/2008Sujet Re L'enclos Jeu 6 Nov - 1706 ClĂ©mence Ă©coute sa mĂšre et tente de comprendre ces attentes."et toi mon coeur" la petite ne peut s'empĂȘcher de faire les gros yeux, surprise, suivit d'une grimace de dĂ©gout. Puis oubli bien vite en comprenant qu'Ă  partir de maintenant, la famille se sera Ă  quatre et non plus Ă  trois, qu'elle le veuille ou frĂšre ne dit mot et s'Ă©loigne, la petite va pour le rejoindre, mais se fait devancer par leur pĂšre.*Pfff! Va jouer au gentil papa qui s'occupe de nous maintenant?* un dernier regard vers lui, avant d'en profiter pour s'installer au cĂŽtĂ© de sa mĂšre et pose sa tĂȘte sur bien qu'elle ne sache pas trop avec quoi elle l' hĂ©site un instant ne sachant comment sa mĂšre va le prendre. Puis finit par se confier Ă  sa celle ci, profitant que son pĂšre ne puisse l'entendre. La rĂ©action de cet homme, lui faisant bien plus Je vais ĂȘtre obliger de l'appeler...papa? caroAdminNombre de messages 293Date d'inscription 13/02/2007Sujet Re L'enclos Dim 9 Nov - 1426 JĂ©rĂŽme sans un mot partait en direction de la forĂȘt suivi de prĂšs par Guidonius. Je trouvais que c'Ă©tait une bonne initiative. JĂ©rĂŽme avait besoin de retrouver la complicitĂ© qu'il avait toujours eu avec son pĂšre. Ce n'est pas ces quelques temps de sĂ©paration qui avait pu tout changer du tout au tout. Il suffisait pour ma part qu'ils puissent se retrouver seul tous les deux Ă  parler pour que trĂšs probablement tout cela redevienne comme savais que Guidonius allait sans doute trouver les mots regard se posait alors sur ma petite fille. Ces longs mois de sĂ©paration pour elle devait lui paraĂźtre ĂȘtre des annĂ©es et je comprenais qu'elle ait plus de mal que JĂ©rĂŽme. Lorsqu'elle se mis Ă  mes cĂŽtĂ©s et posa sa question, je passais mon bras autour d'elle pour la serrer lĂ©gĂšrement contre moiMa puce...je sais que tout cela te semble difficile et que les quelques temps de sĂ©paration te sembles une Ă©ternitĂ© et que tu as oubliĂ© une partie de cette vie Ă  quatre..... Mais ton pĂšre reste ton pĂšre et..... oui il me semble logique et normal que tu l'appelles "papa", tout comme il est naturel pour toi que tu m'appelles "maman" ou "mĂšre", mot que tu utilises aussi de temps en temps et qui me fait sourire parceque je sais exactement ce que cela signifie pour toiJe soulevais son menton de ma main gauche et lui souriaisTu as peur je le sais, mais tu verras que trĂšs vite tu retrouveras tout l'amour que tu as pour ton papa. Je suis certaine qu'au fond de toi tu luttes entre ce que le coeur pourrais te dicter et ce que ta petite tĂȘte te dicte aussi. Mais tu sais ma puce.... si j'ai un conseil Ă  te donner, laisse parler ton coeur.....Je l'embrassais sur le front et lĂąchais ma fille pour me relever. Debout, je lui tendais ma mainAllez ma chipie adorĂ©e, viens... on va chercher nos affaires et rentrer Ă  la maison prĂ©parer quelque chose Ă  manger. Tu dois avoir faim non ? Moi j'ai faim .... et je pense qu'il doit en ĂȘtre de mĂȘme pour JĂ©rĂŽme et papa clemenceNombre de messages 18Date d'inscription 18/10/2008Sujet Re L'enclos Mar 11 Nov - 1603 La voix de sa mĂšre l'apaise et la rassure, mĂȘme si ce qu'elle entend ne lui plait guĂšre. Cependant, peu Ă  peu elle se rĂ©sout Ă  appeler son pĂšre comme il se doit. ClĂ©mence prend la min de sa mĂšre pour se relever et la lĂąche rapidement aux derniĂšres paroles. "pour JĂ©rĂŽme et papa" , un souvenir enfoui depuis longtemps ressurgis, sa gorge se noue et se sens prĂȘte a rentrons! J'ai baissĂ©e elle reprend la main de sa mĂšre et se concentre sur sa faim pour ne pas replonger dans se souvenir. caroAdminNombre de messages 293Date d'inscription 13/02/2007Sujet Re L'enclos Mar 11 Nov - 1931 Clemence se relevait mais je sentais que mes derniĂšres paroles en Ă©voquant son frĂšre et son pĂšre l'avait troublĂ©. Nulle envie de relever, il lui fallait digĂ©rer tout cela. D'ailleurs en pensant Ă  digĂ©rer Clemence me confirmait bien qu'elle avait nous allions chercher nos affaires avant de nous rendre Ă  la maison JĂ©rĂŽmeNombre de messages 10Date d'inscription 02/11/2008Sujet Re L'enclos Mer 12 Nov - 2050 Citation Je le vois depuis quelque temps, mon fils, et je voudrais tellement que tu sois heureux. Vois tu, ces boulversements rĂ©cents ont un peu perturbĂ© tout le monde, ta mĂšre et moi Ă©galement, c'est bien pour cela que nous avons prĂ©fĂ©rĂ© venir passer un peu de temps ici, Ă  la clairiĂšre, ou notre bonheur n'est dĂ©rangĂ© par rien. Ici nous allons nous retrouver tous les quatre et reconstruire ce bonheur que nous avons perdu quelque temps. JĂ©rĂŽme ne releva pas les paroles de son pĂšre, il se contenta de sourire, puis s'adressant Ă  lui avec je suis prĂȘt Ă  vous servir, j'ai hĂąte de devenir votre pour l'heure il me semble que nous devrions rejoindre maman et clĂ©mence.[/color]JĂ©rĂŽme n'attendit pas de rĂ©ponse, il se dirigea vers sa mĂšre et sa soeur, qu'il avait laissĂ© un peu plus tĂŽt. guidoniusNombre de messages 424Date d'inscription 14/04/2007Sujet Re L'enclos Jeu 13 Nov - 110 Guidonius rentra Ă  la suite de sa petite famille dans la clairiĂšre. Il Ă©tait temps que la vie reprenne son cour dans ce havre de paix qu'ils aimaient tant avec Contenu sponsorisĂ©Sujet Re L'enclos L'enclos Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumLa ClairiĂšre Les extĂ©rieurs Les Ă©curiesSauter vers

J’avais faim et vous m’avez donnĂ© Ă  manger ! » Matthieu 25. Seigneur et PĂšre, nous te rendons grĂące pour ton Fils. Il est avec nous ! Au lieu mĂȘme de nos rĂ©ussites, de nos joies et de notre bonheur. Il est avec nous ! Dans les nuits de la peur, dans la souffrance et la faim, dans les peines et la soif. Il est avec nous ! Dans la tempĂȘte de nos combats, dans le temps

La fĂȘte du Christ Roi, qui clĂŽture l’annĂ©e liturgique, nous met devant les yeux un drĂŽle de Roi », un roi dont le visage se donne Ă  reconnaĂźtre Ă  travers celui du pauvre, du malade, du prisonnier
 A la fin du IVĂšme siĂšcle, l’évĂȘque de Constantinople, par ailleurs immense thĂ©ologien, St Jean Chrysostome, n hĂ©sitait pas, dans sa basilique de Constantinople , Ă  fustiger les chrĂ©tiens Ă  ce propos 
 Voici un extrait de ce qu il leur disait Ă  ce propos
 Tu veux honorer le Corps du Christ ? Ne le mĂ©prise pas lorsqu’il est nu. Ne l’honore pas ici, dans l’église, par des tissus de soie, tandis que tu le laisses dehors souffrir du froid et du manque de vĂȘtements. Car celui qui a dit Ceci est mon corps , et qui l’a rĂ©alise en le disant, c’est lui qui a dit Vous m’avez vu avoir faim et vous ne m’avez pas donnĂ© Ă  manger, et aussi Chaque foi que vous ne l’avez pas fait Ă  l’un de ces petits, c est Ă  moi que vous ne l’avez pas fait. Ici le corps du Christ n’a pas besoin de vĂȘtement mais d’ñmes pures ; lĂ -bas il a besoin de beaucoup de sollicitude. Je ne vous dis pas cela pour vous empĂȘcher de faire des donations religieuses, mais je soutiens qu’en mĂȘme temps et mĂȘme auparavant, on doit faire l’aumĂŽne. Quel avantage y a-t-il Ă  ce que la table du Christ soit chargĂ©e de vases d’or, tandis que lui-mĂȘme meurt de faim ? Commence par rassasier l’affamĂ© et avec ce qui te restera, tu orneras son autel. A quoi bon revĂȘtir la table du Christ de voiles d’or, si tu ne lui donnes pas la couverture qui lui est nĂ©cessaire ? Qu’y gagnes-tu ? Dis-moi donc si tu vois le Christ manquer de la nourriture indispensable et que tu l’abandonnes pour couvrir l’autel d’un revĂȘtement prĂ©cieux, est-ce qu’il va t’en savoir grĂ© ? Est-ce qu’il va plutĂŽt s’en indigner ? Ne va-t-il pas dire que tu te moques de lui, estimer que tu lui fais injure, et la pire des injures ? Je ne dis pas cela pour empĂȘcher de faire de telles gĂ©nĂ©rositĂ©s, mais je t’exhorte Ă  les accompagner ou plutĂŽt Ă  les faire prĂ©cĂ©der par les autres actes de bienfaisance. Car personne n’a jamais Ă©tĂ© accusĂ© pour avoir omis les premiĂšres, tandis que, pour avoir nĂ©gligĂ© les autres, on est menacĂ© de la gĂ©henne, du feu qui ne s’éteint pas, du supplice partagĂ© avec les dĂ©mons. Par consĂ©quent, lorsque tu ornes l’église, n’oublie pas ton frĂšre en dĂ©tresse, car ce temple-lĂ  a plus de valeur que l’autre. Les exigences de l’évangile, ici vigoureusement rappelĂ©es, ne sont pas lĂ  pour nous culpabiliser de maniĂšre malsaine nul en effet n est Ă  la hauteur. Dieu, d’ailleurs, n attend pas que nous soyons Ă  la hauteur pour nous accueillir dans son amour sauveur ce ne sont pas nos bonnes actions qui nous justifient, a soulignĂ© Saint Paul, mais le Christ en qui nous mettons notre foi. Puissent donc ces lignes ĂȘtre, non pas culpabilisantes, mais stimulantes 
 P. Louis-Marie Chauvet 35Car j'ai eu faim, et vous m'avez donnĂ© Ă  manger; j'ai eu soif, et vous m'avez donnĂ© Ă  boire; j'Ă©tais Ă©tranger, et vous m'avez recueilli; 36 j'Ă©tais nu, et vous m'avez vĂȘtu; j'Ă©tais malade, et vous m'avez visitĂ©; j'Ă©tais en prison, et vous ĂȘtes venus vers moi. 37 Les justes lui rĂ©pondront: Seigneur, quand t'avons-nous vu avoir faim, et t'avons-nous donnĂ© Ă  manger; ou avoir
ï»ż01 Alors, le royaume des Cieux sera comparable Ă  dix jeunes filles invitĂ©es Ă  des noces, qui prirent leur lampe pour sortir Ă  la rencontre de l’époux. 02 Cinq d’entre elles Ă©taient insouciantes, et cinq Ă©taient prĂ©voyantes 03 les insouciantes avaient pris leur lampe sans emporter d’huile, 04 tandis que les prĂ©voyantes avaient pris, avec leurs lampes, des flacons d’huile. 05 Comme l’époux tardait, elles s’assoupirent toutes et s’endormirent. 06 Au milieu de la nuit, il y eut un cri “Voici l’époux ! Sortez Ă  sa rencontre.” 07 Alors toutes ces jeunes filles se rĂ©veillĂšrent et se mirent Ă  prĂ©parer leur lampe. 08 Les insouciantes demandĂšrent aux prĂ©voyantes “Donnez-nous de votre huile, car nos lampes s’éteignent.” 09 Les prĂ©voyantes leur rĂ©pondirent “Jamais cela ne suffira pour nous et pour vous, allez plutĂŽt chez les marchands vous en acheter.” 10 Pendant qu’elles allaient en acheter, l’époux arriva. Celles qui Ă©taient prĂȘtes entrĂšrent avec lui dans la salle des noces, et la porte fut fermĂ©e. 11 Plus tard, les autres jeunes filles arrivĂšrent Ă  leur tour et dirent “Seigneur, Seigneur, ouvre-nous !” 12 Il leur rĂ©pondit “Amen, je vous le dis je ne vous connais pas.” 13 Veillez donc, car vous ne savez ni le jour ni l’heure. 14 C’est comme un homme qui partait en voyage il appela ses serviteurs et leur confia ses biens. 15 À l’un il remit une somme de cinq talents, Ă  un autre deux talents, au troisiĂšme un seul talent, Ă  chacun selon ses capacitĂ©s. Puis il partit. AussitĂŽt, 16 celui qui avait reçu les cinq talents s’en alla pour les faire valoir et en gagna cinq autres. 17 De mĂȘme, celui qui avait reçu deux talents en gagna deux autres. 18 Mais celui qui n’en avait reçu qu’un alla creuser la terre et cacha l’argent de son maĂźtre. 19 Longtemps aprĂšs, le maĂźtre de ces serviteurs revint et il leur demanda des comptes. 20 Celui qui avait reçu cinq talents s’approcha, prĂ©senta cinq autres talents et dit “Seigneur, tu m’as confiĂ© cinq talents ; voilĂ , j’en ai gagnĂ© cinq autres.” 21 Son maĂźtre lui dĂ©clara “TrĂšs bien, serviteur bon et fidĂšle, tu as Ă©tĂ© fidĂšle pour peu de choses, je t’en confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton seigneur.” 22 Celui qui avait reçu deux talents s’approcha aussi et dit “Seigneur, tu m’as confiĂ© deux talents ; voilĂ , j’en ai gagnĂ© deux autres.” 23 Son maĂźtre lui dĂ©clara “TrĂšs bien, serviteur bon et fidĂšle, tu as Ă©tĂ© fidĂšle pour peu de choses, je t’en confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton seigneur.” 24 Celui qui avait reçu un seul talent s’approcha aussi et dit “Seigneur, je savais que tu es un homme dur tu moissonnes lĂ  oĂč tu n’as pas semĂ©, tu ramasses lĂ  oĂč tu n’as pas rĂ©pandu le grain. 25 J’ai eu peur, et je suis allĂ© cacher ton talent dans la terre. Le voici. Tu as ce qui t’appartient.” 26 Son maĂźtre lui rĂ©pliqua “Serviteur mauvais et paresseux, tu savais que je moissonne lĂ  oĂč je n’ai pas semĂ©, que je ramasse le grain lĂ  oĂč je ne l’ai pas rĂ©pandu. 27 Alors, il fallait placer mon argent Ă  la banque ; et, Ă  mon retour, je l’aurais retrouvĂ© avec les intĂ©rĂȘts. 28 Enlevez-lui donc son talent et donnez-le Ă  celui qui en a dix. 29 À celui qui a, on donnera encore, et il sera dans l’abondance ; mais celui qui n’a rien se verra enlever mĂȘme ce qu’il a. 30 Quant Ă  ce serviteur bon Ă  rien, jetez-le dans les tĂ©nĂšbres extĂ©rieures ; lĂ , il y aura des pleurs et des grincements de dents !” 31 Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire, et tous les anges avec lui, alors il siĂ©gera sur son trĂŽne de gloire. 32 Toutes les nations seront rassemblĂ©es devant lui ; il sĂ©parera les hommes les uns des autres, comme le berger sĂ©pare les brebis des boucs 33 il placera les brebis Ă  sa droite, et les boucs Ă  gauche. 34 Alors le Roi dira Ă  ceux qui seront Ă  sa droite “Venez, les bĂ©nis de mon PĂšre, recevez en hĂ©ritage le Royaume prĂ©parĂ© pour vous depuis la fondation du monde. 35 Car j’avais faim, et vous m’avez donnĂ© Ă  manger ; j’avais soif, et vous m’avez donnĂ© Ă  boire ; j’étais un Ă©tranger, et vous m’avez accueilli ; 36 j’étais nu, et vous m’avez habillĂ© ; j’étais malade, et vous m’avez visitĂ© ; j’étais en prison, et vous ĂȘtes venus jusqu’à moi !” 37 Alors les justes lui rĂ©pondront “Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu
 ? tu avais donc faim, et nous t’avons nourri ? tu avais soif, et nous t’avons donnĂ© Ă  boire ? 38 tu Ă©tais un Ă©tranger, et nous t’avons accueilli ? tu Ă©tais nu, et nous t’avons habillĂ© ? 39 tu Ă©tais malade ou en prison
 Quand sommes-nous venus jusqu’à toi ?” 40 Et le Roi leur rĂ©pondra “Amen, je vous le dis chaque fois que vous l’avez fait Ă  l’un de ces plus petits de mes frĂšres, c’est Ă  moi que vous l’avez fait.” 41 Alors il dira Ă  ceux qui seront Ă  sa gauche “Allez-vous-en loin de moi, vous les maudits, dans le feu Ă©ternel prĂ©parĂ© pour le diable et ses anges. 42 Car j’avais faim, et vous ne m’avez pas donnĂ© Ă  manger ; j’avais soif, et vous ne m’avez pas donnĂ© Ă  boire ; 43 j’étais un Ă©tranger, et vous ne m’avez pas accueilli ; j’étais nu, et vous ne m’avez pas habillĂ© ; j’étais malade et en prison, et vous ne m’avez pas visitĂ©.” 44 Alors ils rĂ©pondront, eux aussi “Seigneur, quand t’avons-nous vu avoir faim, avoir soif, ĂȘtre nu, Ă©tranger, malade ou en prison, sans nous mettre Ă  ton service ?” 45 Il leur rĂ©pondra “Amen, je vous le dis chaque fois que vous ne l’avez pas fait Ă  l’un de ces plus petits, c’est Ă  moi que vous ne l’avez pas fait.” 46 Et ils s’en iront, ceux-ci au chĂątiment Ă©ternel, et les justes, Ă  la vie Ă©ternelle. »
RlUM. 390 177 467 180 341 209 176 109 208

j avais faim et vous m avez donné à manger